C’est le rendez-vous des puristes, la quintessence de l’art, l’instant de tous les possibles : un France-Brésil, ça ne se raconte pas, ça se revit. La première partie nous amène de Solna, Suède, à Guadalajara, Mexique, de Pelé à Platini et de Kopa à Careca.
Dominique Rocheteau
Né le 14 janvier 1955 à Saintes, il a porté le maillot bleu pendant onze ans (1976-1986), a participé à trois Coupes du monde et un championnat d’Europe, mais il ne compte au final que 49 sélections, pour 15 buts et 11 passes décisives. Ailier droit puis avant-centre de grande classe, il était d’une correction extrême et ne rendait jamais les coups qu’il prenait. Son Mundial mexicain, à 31 ans, a été le sommet de sa carrière internationale, qu’il a achevée face au Brésil sous le soleil de Guadalajara.
16 novembre 1977 : France-Bulgarie
Une qualification pour la coupe du monde après douze ans d’absence, le retour de Rocheteau et des Bulgares qui prennent un but à la dernière seconde du match. 77, année héroïque.
M’Vila dans le club des moins de 21 ans
Quel est le point commun entre Yann Mvila, Karim Benzema, Thierry Henry, Patrick Vieira, Dominique Rocheteau ou Michel Platini ? Tous ont été internationaux avant leurs 21 ans. Petite revue d’effectifs sur les quarante dernières années.
21 août 1985 : France-Uruguay
Un an après l’Euro 84, les Bleus de Platini et Giresse accueillent l’Uruguay de Francescoli, champions d’Amérique du sud. Un match éblouissant ponctué par deux buts de Rocheteau et Touré et une demi-douzaine d’occasions franches.