La troisième victoire des Bleus en Italie, les débuts de Trémoulinas, Gomis et Valbuena qui passent la troisième et la disparition des Français d’Italie : les panelli di controllo sont arrivés.
Italie
De par sa proximité géographique, l’Italie a fait partie des premiers adversaires des Bleus, dès 1910. Mais alors que les premières confrontations étaient relativement équilibrées, de 1921 à 1978 l’équipe de France n’a plus gagné une seule fois en 19 matchs, ne grappillant que cinq nuls. Depuis 1982, la tendance s’est inversée, avec une seule victoire italienne (à l’Euro 2008). Mais si les Bleus ont remporté la première finale (2-1 à l’Euro 2000), ils ont échoué aux tirs au but à la seconde (1-1 à la Coupe du monde 2006). Les deux voisins ne se croisent plus qu’en amical depuis 2012.
Italie-France (1-2) : et de quatre !
Après l’Angleterre, le Brésil et l’Allemagne, les Bleus continuent leur série amicale contre les anciens champions du monde. La belle victoire (2-1) en Italie confirme en tout cas les progrès aperçus à Madrid.
Histoire des France-Italie (2) : trente ans de purgatoire
1948-1978 : de l’après-guerre aux débuts de l’ère Platini, les Bleus ont régulièrement buté sur une équipe italienne pourtant pas transcendante, à l’image de la défaite rageante de Mar del Plata.
Histoire des France-Italie (1) : le temps des cartons
L’Italie devient dans les années trente la meilleure équipe du monde. Les Bleus font d’abord bonne figure puis ne s’imposent plus après 1920, encaissant aussi quelques raclées mémorables.
Zidane, Materazzi et l’arbitrage vidéo, en juillet 2006
Oui, le quatrième arbitre a eu recours à la vidéo pour voir la faute de Zidane sur Materazzi, lors de la finale 2006. Et après ? Dans son journal de 13 heures, France 2 revient sur l’incident, avec une bonne dose d’hypocrisie.
Trois blessés qui ont (peut-être) changé l’histoire
Alors que Philippe Mexès s’est rompu le ligament croisé et sera forfait au moins quatre mois, retour sur trois blessés historiques : Robert Jonquet en juin 58, Patrick Battiston en juillet 82 et Patrick Vieira en juillet 2006.