Le 1er janvier, j’avais commencé l’année par la traditionnelle litanie de questions sur ce que pourrait être 2018. Voici les réponses, dont 11 conformes à mes prévisions, ce qui n’est pas mal !
Cette année-là
Vous prenez une année, vous la retrournez dans tous les sens, vous en décrivez le contexte, les protagonistes et les rebondissements. Une nouvelle année tous les deux mois, piochée dans un intervalle multiple de dix ans par rapport à l’année en cours. Et aussi le bilan complet des années récentes, depuis 2010.
2018, un bilan en bleu (6/6) : et quoi d’neuf docteur ?
Premier but de Pavard, débuts de Ndombele, Hernandez, Plea et quatre autres, le VAR et le csc en finale mondiale, Lloris nouveau centenaire, première victoire contre le Pérou, premier but encaissé contre les Etats-Unis... Il s’en est passé des choses cette année !
2018, un bilan en bleu (5/6) : l’attaque
Onze joueurs à vocation offensive ont été appelés par Didier Deschamps, mais le trio Griezmann-Giroud-Mbappé n’a laissé que des poignées de minutes à leurs huit partenaires. Une tendance qui confirme celle de 2017.
2018, un bilan en bleu (4/6) : le milieu
Huit joueurs ont évolué dans l’entrejeu dominé par le trio Kanté-Pogba-Matuidi. Une seule arrivée en fin d’année, celle, prometteuse, de Tanguy Ndombele. Tolisso ne s’est pas imposé.
2018, un bilan en bleu (3/6) : la défense
Trois gardiens et douze défenseurs ont joué cette année, même si Lloris, Pavard, Varane, Umtiti et Hernandez ont monopolisé les deux tiers du temps de jeu. Areola, Hernandez, Kimpembe et Ferland Mendy ont fait leurs débuts.
2018, un bilan en bleu (2/6) : le sélectionneur
Après Hidalgo en 1984, Jacquet en 1998 et Lemerre en 2000, Didier Deschamps est devenu le quatrième sélectionneur des Bleus titré. Il a aussi battu le record de matchs dirigés en équipe de France. Qui dit mieux ?