C’est l’un des trop nombreux internationaux français fauchés par la Première Guerre mondiale, et pourtant, Emile Dusart a longtemps été exclu de cette liste à cause d’une confusion avec un homonyme, un de plus.
Un nom sur un maillot
931 joueurs ont porté au moins une fois le maillot de l’équipe de France. De Jurietti, dont la carrière internationale a duré 8 secondes, à Lilian Thuram, qui a joué plus de 194 heures, tous ont une histoire qui mérite d’être racontée, ainsi que celle de quelques illustres adversaires. Retrouvez dans cette rubrique des portraits individuels ou collectifs, avec des statistiques inédites.
Dis-moi comment tu t’appelles... La cote des prénoms des Bleus
Depuis 1904, 937 joueurs ont porté le maillot de l’équipe de France, avec 297 prénoms différents. D’Abdelaziz à Zoumana en passant par Raymond, Michel, Zinedine et Paul, lesquels reviennent le plus souvent ?
Les premiers Bleus : Joseph Verlet, un poloïste taillé comme un rugbyman
Auteur du tout premier pénalty de l’histoire de l’équipe de France en 1908, Joseph Verlet a aussi pratiqué le water-polo à un haut niveau. En sélection, il était chargé de faire le ménage devant son gardien grâce à un physique de déménageur.
La Coupe du monde est toujours fatale au Ballon d’or
Aucun des dix-sept lauréats du Ballon d’or en saison de Coupe du monde n’a gagnée celle-ci juste après. Si deux ne l’ont pas disputée, cinq autres ont échoué en finale. Karim Benzema aura été la dernière victime de cette étrange malédiction, en 2022.
Franck Sauzée, le tireur d’élite des Bleus
Le milieu de terrain formé à Sochaux a connu les Bleus entre 1988 et 1993, une des périodes les plus sombres de l’histoire de la sélection. Cela n’a pas empêché ce joueur à la frappe de balle puissante de laisser quelques traces de son passage en équipe de France, mais aussi lors de son parcours en club.
Les premiers Bleus : Jules Verbrugge, vrai-faux benjamin
Ailier de poche plutôt individualiste, il a longtemps été considéré comme le plus jeune joueur de l’histoire de l’équipe de France, à cause d’une confusion avec un homonyme, Julien Verbrugghe. Voici son histoire.