Ceux-là parviennent à faire leur trou en sélection et n’en bougent plus. Ils enchaînent les matchs par dizaines, jamais absents, rarement remplaçants, parfois remplacés. De Vieira à Griezmann, voici les assidus en Bleu.
Un nom sur un maillot
931 joueurs ont porté au moins une fois le maillot de l’équipe de France. De Jurietti, dont la carrière internationale a duré 8 secondes, à Lilian Thuram, qui a joué plus de 194 heures, tous ont une histoire qui mérite d’être racontée, ainsi que celle de quelques illustres adversaires. Retrouvez dans cette rubrique des portraits individuels ou collectifs, avec des statistiques inédites.
Le choix du maillot (3/4) : ceux qui n’ont pas été jusqu’aux Bleus
De nombreux Bleuets, une fois leurs années de formation terminées, ont décidé, par conviction ou opportunité, de défendre le maillot d’une autre nation. La liste est bien entendue trop longue à constituer, mais cet article met en avant le parcours de quelques-uns d’entre eux.
Les premiers Bleus : Etienne Jourde et Henri Viallemonteil
Tous deux vainqueurs de l’Italie en mars 1912 à Turin, Etienne Jourde et Henri Viallemonteil ont d’autres points communs : le club, le métier (photograveur), diminués par des blessures et morts prématurément.
Le choix du maillot (2/4) : ceux qui ont rejoint les Bleus
Après nous être intéressé aux Bleus qui ont décidé de changer de sélection, voyons le parcours de quelques joueurs qui ont choisi de porter les couleurs françaises, alors qu’ils avaient la possibilité d’évoluer pour une autre nation ou qui avaient déjà évolué sous d’autres couleurs.
Les premiers Bleus : Henri Vascout et le coup du parapluie
Avec un patronyme écrit de trois manières différentes et deux prénoms dont l’un ne figure pas dans son état-civil, Henri Vascout est un exemple de casse-tête généalogique. Et mieux valait pour le corps arbitral ne pas contrarier sa mère...
Le choix du maillot (1/4) : ceux qui ont quitté les Bleus
La question de la nationalité sportive des footballeurs a longtemps été laxiste avant d’être régulée en 1964 pour éviter les abus. Les règlements se sont toutefois assouplis depuis 2003, ce qui a permis à quelques Bleus de défendre maintenant les couleurs d’un autre pays.