Aimé Jacquet

Aimé Jacquet restera dans l’histoire comme le sélectionneur des champions du monde 1998, au terme d’une compétition où il avait été constamment décrié par les médias. Né né le 27 novembre 1941 à Sail-sous-Couzan, il fait l’essentiel de sa carrière de joueur à Saint-Etienne (jusqu’en 1973) avant de rejoindre Lyon, où il débute son parcours d’entraîneur. Il prend la succession de Gérard Houllier à la tête de l’équipe de France fin 1993 et construit une équipe à la solidité défensive exemplaire, et ne perd que trois matches sur 53 dirigés jusqu’en 1998.

Chute, rebond, sommet (2/3) : 1993-1998

Publié le 19 mai 2019 - Bruno Colombari

Deuxième partie de la mini-série sur le moteur à trois temps de l’équipe de France : celle consacrée aux 57 mois qui séparent la défaite contre Israël à l’automne 1993 du triomphe du 12 juillet 1998. Avec, entre les deux, une victoire fondatrice à Bucarest contre la Roumanie…

Aimé Jacquet, l’intérimaire sur le toit du monde

Publié le 24 septembre 2017 - Bruno Colombari

En 55 mois, il a pris une équipe de France précipitée dans le fossé par Kostadinov pour la hisser sur l’Everest avec Zidane. Voilà comment le tourneur-fraiseur de la Loire est devenu le premier sélectionneur français champion du monde.

Tableaux de bord 810 après Portugal-France

Publié le 11 juillet 2016 - Bruno Colombari

Le 54e match de Deschamps n’aura donc pas été une 34e victoire qui l’aurait mis sur la même ligne que Jacquet et Lemerre après une finale qui arrête plusieurs séries. Tableaux de bord d’après finale.

1994, une année dans le siècle

Publié le 8 décembre 2014 - Bruno Colombari

C’est la dernière fois que l’équipe de France manque une phase finale. Pour autant, 1994 n’est pas une année blanche : Jacquet, Barthez, Thuram et Zidane arrivent et la plus longue série d’invincibilité de l’histoire commence.

5 mai 1998 : et Jacquet donna 28 noms

Publié le 5 mai 2014 - Bruno Colombari

Suspense, mystère et stupéfaction : à Clairefontaine, Aimé Jacquet donne sa liste pour la coupe du monde 1998. Et elle compte 28 noms, soit, comme le dit France 3, six de trop. C’est le drame.

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