Entre mars 1976 et avril 1987, Michel Platini a disputé 72 des 98 matchs des Bleus. Dont 64 avec le numéro 10 sur le dos. Onze autres joueurs ont porté ce numéro mythique pendant cette période. Les voici.
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Pas de doute, c’est le mois d’août
Longtemps ignoré du calendrier international, le mois d’août a ensuite accueilli des amicaux contre des clubs, donc officieux. Puis il a lancé la saison pendant un quart de siècle, avant d’être à nouveau délaissé.
Les premières fois de l’équipe de France
Premier match, premier but, première victoire, premiers adversaires, premier déplacement hors d’Europe, premier pénalty… L’histoire de l’équipe de France est comme pour tout un chacun une succession de première fois.
Cuauhtémoc, un stade dans l’histoire des Bleus
C’est à l’estadio Cuauhtémoc de Puebla que l’équipe de France est allé chercher sa troisième place du mondial mexicain en 1986. Savait-elle qu’une autre équipe de France de football y avait disputé quelques rencontres avant elle ?
Jean-Marie Pfaff, un diable en cage
Jean-Marie Pfaff est l’un des meilleurs gardiens de l’histoire du football belge. Mais il ne garde par beaucoup de bons souvenirs de l’équipe de France qui lui a marqué neuf buts en trois matchs.
28 juin 1986 : France-Belgique
Entre des Belges motivés par la troisième place et qui alignent leur équipe-type, et des Bleus qui font jouer les coiffeurs, on n’attend pas grand chose de cette petite finale. On a tort, car il va y avoir six buts, et Bernard Genghini va donner beaucoup de regrets.
Il n’y a pas de mai qui tienne
Mai. Le mois où, un an sur deux, les Bleus préparent une phase finale. La pléthore de matches amicaux joués en mai (80, contre 10 en compétition) n’est pas pour autant favorable à l’équipe de France, qui en a perdu près de la moitié. Plus pavé que muguet, donc.
Les mois d’avril sont meurtriers
Les Bleus ne jouent plus en avril, et au vu de leurs statistiques, on comprend pourquoi : à peine plus d’un tiers de matches gagnés, des défaites à la pelle. Plutôt que se faire sonner les cloches, l’équipe de France préfère ne pas se découvrir d’un fil.
Karl-Heinz Rummenigge, l’aigle de Lippstadt
A six reprises entre 1977 et 1986, il a croisé la route des Bleus. En bon compétiteur, il a laissé filer les matchs amicaux mais s’est montré impitoyable lors des deux demi-finales de Coupe du monde à Séville et Guadalajara.
25 juin 1986 : RFA-France
Aussi frustrant que la finale de 2016 contre le Portugal et aussi inéluctable que le quart de finale 2014 à Rio, ce match signe la fin de la génération 82-86, celle de Platini, Giresse, Bossis, Rocheteau et Tigana. Elle ne sera jamais championne du monde.