C’est un numéro porte-poisse que va endosser Olivier Giroud au Brésil. Depuis 1992, ils sont neuf à l’avoir porté en phase finale européenne ou mondiale. Aucun n’a brillé avec. Jusqu’aux prochaines semaines ?
La malédiction du numéro 9

Ici, on parle textile, mais pas seulement : les maillots n’ont pas seulement une couleur (ou plusieurs), ils ont aussi une histoire, un numéro, un nom dans le dos, un discours marketing et un coût. Ce qu’ils n’ont pas, c’est un sponsor, mais jusqu’à quand ? Telle est la question.
C’est un numéro porte-poisse que va endosser Olivier Giroud au Brésil. Depuis 1992, ils sont neuf à l’avoir porté en phase finale européenne ou mondiale. Aucun n’a brillé avec. Jusqu’aux prochaines semaines ?
Après la marinière et les rayures ton sur ton, les stratèges de la marque américaine ont encore innové : les Bleus porteront dès le mois prochain un maillot extérieur aux couleurs de l’Uruguay ou de Manchester City, à savoir bleu clair.
Ainsi donc, l’équipementier des Bleus vient de présenter son pyjama printemps-été 2012. Finie la sobriété de l’an dernier et retour des rayures style Dalton ou Ducobu, mais en bleu. Enthousiasme de rigueur, la garde républicaine à cheval veille au grain !
Les soldes sont terminées, mais le blanc revient à la mode : après une marinière hors-sujet, l’équipe de France inaugure mercredi à Brême une tenue entièrement blanche, qui tranche avec les fantaisies textiles des années 90.
Un maillot porte-bonheur, les nouveaux contre le Brésil, l’art compliqué de bien débuter l’année, la cinquième de Blanc, le douzième de Benzema et plein d’autres choses encore après ce France-Brésil édition 2011.
Il est là, il est bleu, il est sobre : c’est le maillot des Bleus, collection 2011. De la marque américaine doublée d’une belle épaisseur d’euros : 320 millions pour la période qui va jusqu’à la coupe du monde 2018 en Russie. On comprend qu’il ait plu à la FFF...