Le seul match de phase finale que les Bleus voulaient perdre, c’est celui-là. Et ils l’ont perdu, après avoir donné des sueurs froides aux Hollandais bousculés par une équipe de coiffeurs superbe et culottée.
21 juin 2000 : Pays Bas-France

Le seul match de phase finale que les Bleus voulaient perdre, c’est celui-là. Et ils l’ont perdu, après avoir donné des sueurs froides aux Hollandais bousculés par une équipe de coiffeurs superbe et culottée.
Dix semaines plus tôt, sa blessure a été le premier caillou dans la chaussure des Bleus, le signe que la deuxième étoile n’était qu’un rêve fou. En juin, Robert Pirès aurait été plus utile en Corée que sur le plateau de Tout le monde en parle...
Dix mois après la demi-finale de Bruxelles, les Portugais viennent à Saint-Denis prendre leur revanche sur les Bleus, qui sont tombés un mois plus tôt à Valence contre l’Espagne. Résultat : un sommet du jeu entre deux des trois meilleures sélections du monde.
Pires, Vieira, Wiltord, Makelele, Dhorasoo... Et Domenech. Les premiers s’apprêtent à vivre une belle aventure, le second les a sélectionnés et affirme qu’il les aime. Nous sommes en juin 1996, à Barcelone, quelques semaines avant les Jeux Olympiques d’Atlanta.