Le 8 juin, les Bleus gagnent toujours et marquent beaucoup, la Turquie comme porte-bonheur, Pavard chasse Pedretti et Mbappé talonne Deschamps, Griezmann vise la passe de quatre.
Jour de match 849 : Turquie-France

Avant et après chaque match des Bleus, trois articles publiés à chaud : le matin du match avec les enjeux de la rencontre à venir, dans l’heure qui suit le coup de sifflet final un retour en cinq questions et autant de réponses (ou de tentatives). Et le lendemain dans la journée, les tableaux de bord avec des stats inédites, surprenantes ou improbables.
Le 8 juin, les Bleus gagnent toujours et marquent beaucoup, la Turquie comme porte-bonheur, Pavard chasse Pedretti et Mbappé talonne Deschamps, Griezmann vise la passe de quatre.
Les débuts de Léo Dubois, le 29e but de Griezmann, Nantes ville porte-bonheur, la Bolivie neuvième adversaire sud-américain et la différence de buts qui redevient positive pour la première fois depuis 1905 : les tableaux de bord prennent de l’altitude.
Les Bleus se sont imposés sans problème, et sans ampleur, face à une Bolivie en mode camouflage et sauvée par son gardien dans une Beaujoire qui a rendu hommage à Emiliano Sala et ovationné Léo Dubois pour ses débuts en sélection.
Le 2 juin c’est du 50-50, Nantes partie pour égaler Luxembourg aux victoires consécutives, les sélections sud-américaines ne sont plus des porte-poisse, Deschamps et les mois de juin en année impaire, les scores rares à surveiller.
A cause des deux finales de Coupe d’Europe qui vont empiéter sur la première semaine du rassemblement et le France-Bolivie, Didier Deschamps a donné une liste de 24 noms pour les trois rencontres de juin, dont trois nouveaux. Dix champions du monde manquent à l’appel.
Le 1500ème but de l’histoire des Bleus et la fréquence de chaque centaine, des titulaires qui marquent vraiment beaucoup, un arbitre nommé Kovacs, Pogba dans le top 30, enfin une clean-sheet contre l’Islande et le quatrième 4-0 de Deschamps.