Dix semaines plus tôt, sa blessure a été le premier caillou dans la chaussure des Bleus, le signe que la deuxième étoile n’était qu’un rêve fou. En juin, Robert Pirès aurait été plus utile en Corée que sur le plateau de Tout le monde en parle...
Robert Pirès chez Ardisson, en juin 2002
