Finissons l’année comme nous l’avons commencée : en se posant des questions. Et en y apportant les (bonnes) réponses. J’en avais 7 justes, 6 fausses et 4 entre les deux. Pas trop mal, non ?
17 réponses pour 2017

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Finissons l’année comme nous l’avons commencée : en se posant des questions. Et en y apportant les (bonnes) réponses. J’en avais 7 justes, 6 fausses et 4 entre les deux. Pas trop mal, non ?
Le tour des nouveautés de l’année, de la première victoire à Rennes au premier 2-2 de DD en passant par la fin de l’invincibilité de Kanté, le premier nul contre le Luxembourg ou le premier Bleu post-1998.
Un de perdu (Gignac), un de retrouvé (Lacazette), deux nouveaux (Thauvin et Mbappé) et neuf de 2016 : Didier Deschamps a vu le champ des possibles s’élargir en attaque cette année. Maintenant, il va falloir choisir.
Si numériquement ce secteur de jeu est stable avec huit joueurs appelés, il a été profondément renouvelé avec trois nouveaux (Tolisso, Bakayoko et Nzonzi), quatre si on ajoute Rabiot qui avait débuté fin 2016.
Avec deux gardiens et neuf défenseurs (contre trois et quatorze en 2016), Didier Deschamps a privilégié la stabilité dans ses lignes arrières. Les deux Benjamin, Pavard à droite et Mendy à gauche ont toutefois été prometteurs.
Après Michel Hidalgo en 1981 et Raymond Domenech en 2009, Didier Deschamps est donc le troisième sélectionneur français à accéder à deux phases finale de Coupe du monde. Largement suffisant d’un point de vue comptable.
La traditionnelle rétro de l’année écoulée revient, avec pour commencer un retour sur les onze matchs de 2017, avec deux nuls et deux défaites qui se répartissent équitablement entre amicaux et compétition, domicile et extérieur.
Le Pérou, l’Australie et le Danemark seront les adversaires des Bleus en Russie pour le premier tour de la Coupe du monde. Une entrée en matière idéale, mais gare aux huitièmes...
RIP Diana, Jospin à Matignon, un Titanic insubmersible, les krachs asiatiques, mais aussi Marc Keller buteur contre le Brésil ou Ibou Ba étoile filante à la milanaise : c’était 1997, l’année d’avant le sacre.
Coauteur d’un livre brillant sur les grands tacticiens de l’histoire (Les entraîneurs révolutionnaires du football, éditions Solar), Christophe Kuchly complète son propos avec les influences des entraîneurs français et de l’actuel sélectionneur des Bleus.