Sur un terrain épouvantable, les Bleus n’ont rien montré face à la Roumanie (0-0) et se sont mis dans une situation plutôt inconfortable avant les deux dernières rencontres du mois d’octobre.
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Sur un terrain épouvantable, les Bleus n’ont rien montré face à la Roumanie (0-0) et se sont mis dans une situation plutôt inconfortable avant les deux dernières rencontres du mois d’octobre.
Le premier but de Yann M’Vila et le treizième de Benzema, un douzième match sans défaite, le bilan des Bleus à l’extérieur contre les pays méditerranéens : ce qu’il faut retenir après le match de Tirana.
Au terme d’une deuxième mi-temps d’une indigence stratosphérique, les Bleus ont obtenu ce qu’ils sont venus chercher à Tirana. Mais cette victoire face à l’Albanie (2-1) inquiète plus qu’elle ne rassure tant les défaillances collectives et individuelles ont été nombreuses.
Après notre série sur les bilans mensuels des Bleus, en voici une nouvelle qui s’attachera à raconter une année entière de l’équipe de France en la replaçant dans son contexte historique et sportif. Pour la première, retournons il y a quarante ans, au tout début des seventies.
Meilleur buteur de l’histoire des Bleus, champion du monde à vingt ans, 123 sélections : Thierry Henry avait tout pour devenir un des plus grands, sinon le plus grand international français. Au final, il reste loin derrière Platini, Zidane et Kopa. Qu’est-ce qui n’a pas marché, alors ?
Lancé le 16 août 2010, Chroniques bleues souffle aujourd’hui sa première bougie. Et promet de vous offrir encore de nombreux articles sur l’équipe de France, celle d’aujourd’hui bien sûr mais aussi toutes celles qui l’ont précédée depuis 1904.
Le retour de Laurent Blanc à la Mosson, un onzième match sans défaite, un bilan équilibré contre l’Amérique du Sud, le deuxième but de Rémy : voici une fournée de stats inédites sur France-Chili.
Face à une excellente équipe chilienne, les Bleus auraient pu gagner (une barre, deux buts hors-jeu) mais partagent finalement les points (1-1) grâce à un Benzema retrouvé, un Rémy gonflé et un Martin omniprésent.
Espagne, Biélorussie, Finlande et Géorgie : pour les Bleus, la route du Brésil s’annonce riche en virages en épingle et en pourcentages élevés. Pour autant, il n’est pas dit que l’équipe de France soit condamnée à viser la deuxième place synonyme de barrages. Voici pourquoi.
Version obscure de ses petites sœurs de Marseille et de Guadalajara, la demi-finale sévillane du Mundial 1982 concentre en deux heures et quart bonheur, colère, admiration et chagrin, en un va-et-vient machiavélique au terme duquel l’équipe de France sortira grandie et celle d’Allemagne ébranlée.