Petite visite guidée du stade vélodrome où Maradona et ses joueurs de futbol ont corrigé les Bleus le 11 février dernier. Article publié sur le site du webzine Envrak.
T’as voulu voir Diego et on a vu Messi

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Petite visite guidée du stade vélodrome où Maradona et ses joueurs de futbol ont corrigé les Bleus le 11 février dernier. Article publié sur le site du webzine Envrak.
Pour la deuxième fois, Chroniques bleues était invité au podcast de Panenka entièrement dédié au dernier France-Brésil. L’intérêt des matches amicaux, l’analyse du jeu brésilien, les Français passés au crible et les perspectives pour 2011 : 28 minutes à déguster sans modération.
Un maillot porte-bonheur, les nouveaux contre le Brésil, l’art compliqué de bien débuter l’année, la cinquième de Blanc, le douzième de Benzema et plein d’autres choses encore après ce France-Brésil édition 2011.
Pas grand chose à retenir d’un petit France-Brésil bien loin de la légende, mais il fallait s’y attendre. On se souviendra de ce match comme le cinquième dans la jolie série de victoires de l’équipe de Laurent Blanc. Pour le reste, il faudra patienter jusqu’en 2014.
A l’occasion de France-Brésil, Panenka.fr sort un dossier fourni sur les Bleus et les Auriverde, avec portrait de groupe de la nouvelle génération brésilienne, comparatif Nelinho-Roberto Carlos et récit nostalgique de la carrière du grand Careca. Le tout accessible via une superbe Une interactive !
Qu’ont fait les Bleus contre les quintuples champions du monde ? Eh bien, ils se sont plutôt montrés à leur avantage. Bilan équilibré, et même favorable si on ne tient compte que des matches de compétition, la dernière défaite remontant à 1958.
C’est le rendez-vous des puristes, la quintessence de l’art, l’instant de tous les possibles : un France-Brésil, ça ne se raconte pas, ça se revit. La première partie nous amène de Solna, Suède, à Guadalajara, Mexique, de Pelé à Platini et de Kopa à Careca.
Avant Desailly, un autre joueur français avait pris un carton rouge contre le Brésil. C’était Didier Six, en 1981, pour un bras d’honneur à l’arbitre sur une position de hors-jeu à dix secondes de la fin en amical.
Trois fois dans son histoire, l’équipe de France a eu dans son jeu un carré d’as, talents complémentaires qui ont entraîné des années fastes. Le premier de la série, celui qui a illuminé le milieu des années 80, était en fait un losange. Bienvenue chez les Fertigipla.
Il est là, il est bleu, il est sobre : c’est le maillot des Bleus, collection 2011. De la marque américaine doublée d’une belle épaisseur d’euros : 320 millions pour la période qui va jusqu’à la coupe du monde 2018 en Russie. On comprend qu’il ait plu à la FFF...