Cette génération-là, la plus faible de l’après-guerre, est si décousue qu’il est bien difficile d’en dégager un fil conducteur. Georges Bereta en est un possible, même s’il a débuté en 1967, cinq ans après la fin de la génération Kopa.
Générations
Génération 6 : les années Platini (1976-1987)
A partir de 1976, une bande de jeunes prend le pouvoir chez les Bleus. Bossis, Six et Rocheteau accompagnent le meilleur joueur français : Michel Platini. La génération 6 est en marche, rien ou presque ne l’arrêtera.
Génération 7 : les années Papin (1986-1995)
Prenez quelques cadres de la génération Platini et des débutants qui feront celle de Zidane. Ajoutez une ossature marseillaise et le duo Papin-Cantona devant. Résultat ? Deux sélectionneurs virés et un troisième qui jette l’éponge.
Génération 8 : les années Zidane (1994-2006)
Ne cherchez pas : ces douze années-là sont les plus riches de l’histoire des Bleus. Avec cinq finales dont quatre gagnées et seulement six défaites en compétition, la bande à Zizou est une constellation. Heureux ceux qui l’ont connue.
Génération 9 : les années Ribéry (2006-2014)
Des sommets de Francfort contre le Brésil en 2006 ou de Saint-Denis face à l’Ukraine en 2013 en passant par le ravin de Polokwane contre le Mexique en 2010, cette génération-là a d’abord chuté avant d’amorcer la reconquête.