De Kopa à Griezmann en passant par Fontaine, Herbin, Platini, Ettori, Papin, Zidane et Ribéry, neuf récits de leur premier match de Coupe du monde. Parfois brillant, parfois tragique...
Leur toute première fois

Il est né le 5 novembre 1963 à Boulogne sur Mer et intègre l’équipe de France en 1986 alors qu’il joue à Bruges, en Belgique. Sa carrière va de la fin de la période de Platini au début de celle de Zidane, en 1995. En 54 sélections, il marque 30 buts et forme avec Eric Cantona un redoutable duo d’attaquants. Ballon d’Or 1991, il ne joue que deux phases finales, la Coupe du monde 1986 où il perd sa place de titulaire à l’issue du premier tour, et l’Euro 1992 où il marque deux buts.
De Kopa à Griezmann en passant par Fontaine, Herbin, Platini, Ettori, Papin, Zidane et Ribéry, neuf récits de leur premier match de Coupe du monde. Parfois brillant, parfois tragique...
Prenez quelques cadres de la génération Platini et des débutants qui feront celle de Zidane. Ajoutez une ossature marseillaise et le duo Papin-Cantona devant. Résultat ? Deux sélectionneurs virés et un troisième qui jette l’éponge.
Du soleil de Guadalajara à la nuit noire de Leipzig, de Michel Platini à Philippe Jeannol, des adieux de Giresse aux débuts de Papin, c’était 1986, l’année de Tchernobyl et de la mort de Coluche.
Les douze premiers mois en Bleu de l’attaquant de l’Atletico ont été fulgurants. Pour retrouver trace d’une intégration aussi rapide dans le secteur offensif, il faut remonter aux débuts de Franck Ribéry... auquel Griezmann a succédé.
Dix matches au pain sec : l’attaquant du Real n’a plus marqué depuis juin 2012 contre l’Estonie. C’est long, mais ça arrive. Voici le détail pour les huit autres buteurs ayant joué plus de cinquante matches et marqués au moins quinze buts.
Un Euro complètement raté, une ancienne gloire au poste de sélectionneur qui s’en va sur et un autre qui arrive : bienvenue en 1992, dont on retiendra les sept buts de Papin et les débuts de Lizarazu.