Inspirés par un orage apocalyptique qui a rincé les ambitions ukrainiennes, les Bleus ont bien négocié leur deuxième match de l’Euro (2-0). Le troisième pourrait servir à affiner les réglages et à faire tourner l’équipe.
Stormy weather

Avant et après chaque match des Bleus, trois articles publiés à chaud : le matin du match avec les enjeux de la rencontre à venir, dans l’heure qui suit le coup de sifflet final un retour en cinq questions et autant de réponses (ou de tentatives). Et le lendemain dans la journée, les tableaux de bord avec des stats inédites, surprenantes ou improbables.
Inspirés par un orage apocalyptique qui a rincé les ambitions ukrainiennes, les Bleus ont bien négocié leur deuxième match de l’Euro (2-0). Le troisième pourrait servir à affiner les réglages et à faire tourner l’équipe.
Les Anglais ont encore tiré les premiers, un classique du premier tour commenté par les Beatles, le bilan contre les Iles britanniques... Ladies and gentlemen, this is the dashboard.
En jouant à deux kilomètres heure de moyenne, les Bleus ont permis à une Angleterre moribonde de gagner un point inespéré (1-1). En commençant par un nul, ils ne se facilitent surtout pas la tâche.
Un nouvel adversaire, l’Estonie, une nouvelle ville d’accueil, Le Mans, une série d’invincibilité qui continue, le premier but de Buster Ménez Keaton : les tableaux de bord ont encore frappé.
Un score large (4-0), une victoire nette face à une Estonie qui n’a pas fait illusion longtemps, des attaquants qui rassurent, les Bleus peuvent partir tranquilles en Ukraine malgré une défense un peu fébrile.
Malouda et Ribéry qui se tirent la bourre au classement des buteurs, la France qui mène 11-0 face aux Balkans et l’époque où les Bleus jouaient à la Rémoise : on ramasse les copies dans un quart d’heure.