Ballon d’or

Créé en 1956 par France Football pour relancer les ventes de l’hebdomadaire pendant la trêve hivernale, ce prix individuel anachronique dans un sport éminemment collectif s’est progressivement étendu : d’abord limité aux joueurs européens, puis à ceux évoluant en Europe, il concerne désormais le monde entier. Six Français ont été lauréats : Raymond Kopa (1958), Michel Platini (1983, 1984 et 1985), Jean-Pierre Papin (1991), Zinédine Zidane (1998), Karim Benzema (2022) et Ousmane Dembélé (2025).

Les matchs des Bleus avec un Ballon d’or

Publié le 6 novembre 2025 - Bruno Colombari

Depuis février 1984, l’équipe de France a joué 127 fois avec un Ballon d’or dans ses rangs, dont la moitié avec Zidane (65 fois). Si Dembélé sera le prochain en 2026, Benzema n’a jamais joué en Bleu une fois titré.

Tous les Bleus du Ballon d’or

Publié le 26 septembre 2025 - Richard Coudrais

Six joueurs français (Kopa, Platini, Papin, Zidane, Benzema et Dembélé) ont été honorés du Ballon d’or. Mais combien ont été cités depuis 1956 ? Quel serait le classement des Bleus si l’on prenait en compte l’ensemble du palmarès depuis l’origine ?

La Coupe du monde a toujours été fatale au Ballon d’or

Publié le 23 septembre 2025 - Bruno Colombari

Aucun des dix-sept lauréats du Ballon d’or en saison de Coupe du monde n’a gagnée celle-ci juste après. Si deux ne l’ont pas disputée, cinq autres ont échoué en finale. Karim Benzema aura été la dernière victime de cette étrange malédiction, en 2022. Dembélé fera-t-il mieux ?

Ousmane Dembélé, dribbleur ajusté

Publié le 22 septembre 2025 - Richard Coudrais

Longtemps confiné dans la catégorie des espoirs déçus, Ousmane Dembélé a enfin trouvé la formule qui fait de lui un très grand joueur et un Ballon d’Or aussi inattendu qu’incontestable.

Michel Platini, solstice d’été

Publié le 21 juin 2025 - Bruno Colombari

Né un 21 juin, c’est le plus grand joueur français de l’histoire, et l’un des meilleurs du monde. Nancéen, Stéphanois, Turinois mais avant tout tricolore, Michel Platini a laissé une trace indélébile entre 1976 et 1987. La suite de sa carrière est moins brillante.

La Coupe du monde idéale