Rideau sur une année 2011 globalement décevante avec un match consternant de non-jeu face à la Belgique (0-0). A sept mois de l’Euro, les raisons d’espérer sont bien rares.
Ça c’est du nul !

Avant et après chaque match des Bleus, trois articles publiés à chaud : le matin du match avec les enjeux de la rencontre à venir, dans l’heure qui suit le coup de sifflet final un retour en cinq questions et autant de réponses (ou de tentatives). Et le lendemain dans la journée, les tableaux de bord avec des stats inédites, surprenantes ou improbables.
Rideau sur une année 2011 globalement décevante avec un match consternant de non-jeu face à la Belgique (0-0). A sept mois de l’Euro, les raisons d’espérer sont bien rares.
Pourquoi Blanc aime bien Klinsmann, tous les matches du 11 novembre, l’époque où les States jouaient sur l’AstroTurf, combien de fois ont-ils gagné en France ? Réponse dans des tableaux de bord étoilés.
Le foot est un sport qui se joue à onze, et parfois le onzième jour du onzième mois de la onzième année du siècle. A part ça, un match bien tristounet (1-0) contre des Américains qui n’ont pas inventé l’eau tiède mais qui se sont bien défendus.
Un but de Nasri, ça faisait longtemps. Un but sur pénalty, ça faisait longtemps aussi. Les retrouvailles de Blanc et Susic à Paris et l’histoire du dernier match de qualification sont également au menu de ces stats inédites et essentielles.
Secoués dans tous les sens par une excellente équipe de Bosnie, les Bleus ont dû s’arracher pour obtenir un nul (1-1) qualificatif pour l’Euro 2012. Pour espérer passer le premier tour, il faudra toutefois progresser dans tous les secteurs du jeu.
Les bons débuts de Mathieu Debuchy, le premier but d’Anthony Réveillère : les défenseurs latéraux, espèce plutôt discrète dans les statistiques, ont fait parler d’eux face à l’Albanie, une des sélections que Laurent Blanc a affrontées sur le terrain et sur le banc.