Neuf attaquants ont été alignés cette année, avec encore une fois une prédominance du trio Griezmann-Giroud-Mbappé, mais seulement pour le premier semestre. Kingsley Coman a bien occupé la place libérée par le Parisien à l’automne.
Cette année-là
Vous prenez une année, vous la retrournez dans tous les sens, vous en décrivez le contexte, les protagonistes et les rebondissements. Une nouvelle année tous les deux mois, piochée dans un intervalle multiple de dix ans par rapport à l’année en cours. Et aussi le bilan complet des années récentes, depuis 2010.
2019, un bilan en bleu (4/6) : le milieu
Seulement six milieux de terrain appelés par Didier Deschamps, aucun nouveau puisque Mattéo Guendouzi n’a pas joué : malgré les absences de Kanté et Pogba, l’entrejeu français n’a pas été bouleversé en 2019.
2019, un bilan en bleu (3/6) : la défense
Avec 12 défenseurs utilisés en 2019, Didier Deschamps est dans une moyenne haute pour une année impaire, donc avec moins de matchs joués (11). Il n’y a qu’en 2013 où il en avait fait jouer plus (13).
2019, un bilan en bleu (2/6) : le sélectionneur
Devenu en novembre le premier sélectionneur des Bleus à diriger cent matchs, Didier Deschamps a continué sa collection de records tout en qualifiant l’équipe de France pour l’Euro 2020.
2019, un bilan en bleu (1/6) : les matchs
La rétro de cette année 2019 de transition commence avec, comme d’habitude, une première partie consacrée aux matchs. Derrière un bilan statistiquement bon se cache quand même quelques petites alertes dont il faudra tenir compte en 2020.
A quoi servent les années impaires ?
Si les filles tenteront de remporter la Coupe du monde en juillet prochain, les garçons vont être à la diète en 2019 avec un programme allégé. Pour autant, les années impaires jouent un rôle important. C’est aussi là que les titres se gagnent ou pas.