Il est l’unique buteur de la plus large défaite de l’histoire de l’équipe de France, en 1908 contre le Danemark (1-17). Mais la vie d’Emile Sartorius ne se réduit pas à cette anecdote, loin de là.
1908
Les premiers Bleus : Marius Royet, fauché en Argonne
Avec des dates de naissance et de décès corrigées, Marius Royet est l’un des internationaux français morts au combat lors de la Première Guerre mondiale. Auparavant, il s’est illustré en sélection par la finesse de sa technique.
Les premiers Bleus : André et Charles Renaux, frères de Roubaix
C’est la deuxième fratrie de l’histoire des Bleus : en 1908, André Renaux et son cadet Charles ont joué un match en sélection (mais pas le même). Fils d’un courtier dans l’industrie lainière, ils survivront au premier conflit mondial.
Les premiers Bleus : Henri Moigneu, le polyvalent qui ne demandait rien
Avant d’être gravement blessé au combat et d’avoir échappé de peu à l’amputation, Henri Moigneu avait connu huit sélections en équipe de France entre 1905 et 1908 où sa technique et sa polyvalence étaient précieuses.
Les premiers Bleus : Paul-Edouard Mathaux, une histoire d’épiciers
Cinq fois international l’année de ses vingt ans, en 1908, Paul-Edouard Mathaux n’a pas laissé beaucoup de traces en équipe de France. Il fait partie de ces internationaux de circonstance, bien aidé par André Billy qui sélectionnera des joueurs nordistes plutôt que parisiens.
Les premiers Bleus : Albert Jenicot, maigre comme un clou
Cas particulier d’international français mort dans sa trentième année, pendant la guerre mais pas au combat, Albert Jenicot a connu une courte carrière en sélection avec trois sélections en 1908. Sa maigreur lui a valu le surnom de Mouchon.