Du soleil de Guadalajara à la nuit noire de Leipzig, de Michel Platini à Philippe Jeannol, des adieux de Giresse aux débuts de Papin, c’était 1986, l’année de Tchernobyl et de la mort de Coluche.
1986, une année dans le siècle
Dans un Mexique ravagé par un tremblement de terre, tous les regards sont portés vers les Brésiliens et les Bleus de Platini. Mais les deux premières semaines du tournoi sont pour les Soviétiques et les Danois. Jusqu’à ce que Maradona...
Du soleil de Guadalajara à la nuit noire de Leipzig, de Michel Platini à Philippe Jeannol, des adieux de Giresse aux débuts de Papin, c’était 1986, l’année de Tchernobyl et de la mort de Coluche.
La deuxième partie de cette rétrospective couvre la période 1968-1987, celle où la domination de l’Allemagne est la plus forte, avec les deux victoires en demi-finale de coupe du monde et une déculottée à Hanovre.
Héros de Séville à vingt ans, auteur d’un coup de boule à l’Euro, capitaine pendant quatre ans, recordman des sélections durant un septennat, Amoros est l’un des cinq meilleurs latéraux français de l’Histoire.
Ainsi donc, l’immense Socrates est mort à 57 ans, prématurément comme il se doit. Capitaine d’une des plus belles équipes de tous les temps, jamais titré en sélection, il restera pour toujours un des plus grands adversaires que les Bleus aient jamais croisé.
C’est le rendez-vous des puristes, la quintessence de l’art, l’instant de tous les possibles : un France-Brésil, ça ne se raconte pas, ça se revit. La première partie nous amène de Solna, Suède, à Guadalajara, Mexique, de Pelé à Platini et de Kopa à Careca.
Trois fois dans son histoire, l’équipe de France a eu dans son jeu un carré d’as, talents complémentaires qui ont entraîné des années fastes. Le premier de la série, celui qui a illuminé le milieu des années 80, était en fait un losange. Bienvenue chez les Fertigipla.