Largement dominés en première mi-temps, les Bleus se sont inclinés logiquement contre une équipe d’Allemagne supérieure (1-2) alors que les attaques ont pris le pas sur les défenses.
L’arroseur arrosé

Avant et après chaque match des Bleus, trois articles publiés à chaud : le matin du match avec les enjeux de la rencontre à venir, dans l’heure qui suit le coup de sifflet final un retour en cinq questions et autant de réponses (ou de tentatives). Et le lendemain dans la journée, les tableaux de bord avec des stats inédites, surprenantes ou improbables.
Largement dominés en première mi-temps, les Bleus se sont inclinés logiquement contre une équipe d’Allemagne supérieure (1-2) alors que les attaques ont pris le pas sur les défenses.
La troisième victoire des Bleus en Italie, les débuts de Trémoulinas, Gomis et Valbuena qui passent la troisième et la disparition des Français d’Italie : les panelli di controllo sont arrivés.
Après l’Angleterre, le Brésil et l’Allemagne, les Bleus continuent leur série amicale contre les anciens champions du monde. La belle victoire (2-1) en Italie confirme en tout cas les progrès aperçus à Madrid.
Pourquoi les Bleus aiment bien Vicente Calderon, Ribéry dans le top 20, Benzema en panne sèche, le bilan à l’extérieur chez les champions du monde ou d’Europe : les tableaux de bord ont encore frappé.
Au terme d’une dernière demi-heure conquérante, les Bleus arrachent le nul à Madrid (1-1) contre une Espagne dominatrice et trop sûre d’elle. La passivité et la résignation de l’Euro sont bien loin.
Deuxième défaite contre un pays asiatique, huitième revers au SdF, les débuts de Chantôme, et une nouveauté, le sélectionomètre : des stats niponnes ni mauvaises.