Christophe Kuchly : « Deschamps, c’est plutôt Jacquet dans la philosophie et Lippi dans le jeu »

Publié le 24 novembre 2017 - Bruno Colombari - 1

Coauteur d’un livre brillant sur les grands tacticiens de l’histoire (Les entraîneurs révolutionnaires du football, éditions Solar), Christophe Kuchly complète son propos avec les influences des entraîneurs français et de l’actuel sélectionneur des Bleus.

11 minutes de lecture

Si vous lisez un excellent livre sur un cinéaste (par exemple, Stanley Kubrick, L’humain ni plus ni moins, de Michel Chion), il y a de fortes chances pour que vous n’ayez qu’une seule envie après : revoir ses films pour mieux les comprendre. C’est un peu la même chose avec Les entraîneurs révolutionnaires du football, du trio Raphaël Cosmidis, Julien Momont et Christophe Kuchly, des Cahiers du football (éditions Solar, 480 pages, 17,90 euros). Après l’avoir fini, on regarde avec gourmandise la liste des 6400 matchs disponibles en intégralité sur Footballia.

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Presque deux ans après le très remarqué Comment regarder un match de foot ?, les trois journalistes ont approfondi leur analyse sur l’évolution de la tactique en focalisant leur travail sur sept entraîneurs, des années 50 à la période actuelle. Du sélectionneur de la grande équipe de Hongrie Gusztav Sebes au coach de Manchester City Pep Guardiola en passant par Helenio Herrera (le seul du lot à avoir innové en privilégiant la défense), Valeri Lobanovski, Arrigo Sacchi et Johan Cruyff, ils ont tous révolutionné le jeu, marquant une rupture, engendrant autant d’adeptes que de contre-révolutionnaires.

Illustré par des schémas tactiques, écrit en multipliant les angles et les témoignages, le livre nous plonge en immersion à Wembley en 1953 au cœur du fameux Angleterre-Hongrie (3-6), nous fait revivre le Dynamo Kiev-Atlético de Madrid à Lyon (3-0) en 1986 et décrypte méticuleusement les ressorts de l’incroyable Barça-AC Milan de 1994 à Athènes (0-4). C’est vibrant, palpitant, fouillé et grandiose. On est loin, bien loin, des poncifs du genre « une finale, ça ne se joue pas, ça se gagne ».


 

Alors, bien sûr, en refermant ces Entraîneurs révolutionnaires du football, on se dit qu’il est bien dommage que la nation qui a donné au jeu des génies du niveau de Kopa, Platini et Zidane n’ait accouché d’aucun entraîneur de cette envergure. Frilosité tactique ? Manque de moyens ? Poids du conservatisme ? Faiblesse des sélections nationales par rapport aux clubs ?

Nous avons posé ces questions à Christophe Kuchly, journaliste sportif à l’AFP, à La Voix du Nord et aux Cahiers du football [1]quand il n’écrit pas des livres référence comme celui-là. Voici ses réponses.

Actuellement, les entraîneurs de club semblent meilleurs que les sélectionneurs, qui se plaignent de manquer de temps pour définir un style de jeu. Est-ce vraiment le cas ? Si oui, pourquoi ?

La prise d’importance des clubs a été progressive mais s’est accélérée depuis une vingtaine d’années. Dans les années 50, Gustav Sebes avait une énorme latitude pour composer et faire travailler dans la durée l’équipe nationale hongroise. Et même si la donne avait bien changé vingt ans plus tard, les Pays-Bas de Rinus Michels ont plus marqué les esprits en quelques matches du Mondial 74 que l’Ajax, triple vainqueur de la C1 de 71 à 73.

Cela reflète la différence d’importance longtemps frappante entre football de club et de sélection, et aidait à maintenir l’idée que la scène internationale était le vrai grand rendez-vous du ballon rond. Dans ce contexte, il était impératif d’avoir les meilleurs techniciens à la tête d’équipes nationales et de longuement préparer les compétitions. Aujourd’hui, les clubs ont le pouvoir et les fortes rémunérations qu’ils offrent aux joueurs leur permettent de peser sur l’organisation du football en général : fenêtres internationales réduites, échanges avec les sélectionneurs pour préserver les blessés, blocage de certains...

« Dans les petits pays, le choix se limite souvent au fait de prendre les meilleurs »

Un Euro ou une Coupe du monde sont presque des parenthèses au milieu de saisons rythmées par les championnats nationaux et coupes continentales, et on ne parle pas tant de construction d’un style de jeu en sélection que de gestion de profils individuels. En clair, on ne va pas prendre quinze joueurs à qui on essaiera d’inculquer une façon de jouer ; on cherche des joueurs qui peuvent répondre aux demandes.

Dans les petits pays, le choix se limite souvent au fait de prendre les meilleurs. Au très haut niveau, on s’adapte à une philosophie. En France par exemple, cela sera le choix entre Matuidi ou Tolisso au milieu. La différence n’est pas dans le niveau intrinsèque mais dans le profil et on ne va pas tant chercher à leur apprendre quelque chose qu’à les aligner dans un contexte qui leur est propice.

Que signifie selon-vous la présence en finale de l’Euro l’an dernier de la France et du Portugal ?

Le Portugal a remporté l’Euro en improvisant une façon de jouer totalement différente à partir des poules. En privilégiant le défensif Adrien Silva au créatif Andre Gomes par exemple. Que cette équipe ait gagné l’Euro est frappant à deux titres. D’abord parce que cela prouve que la préparation ne garantit pas le succès, la titularisation d’un Umtiti initialement hors de la liste lors de la demi et de la finale prouvant que la France aussi avait, en dehors de ses changements de système, une absence de certitudes qui la poussait à s’adapter. Ensuite car le Portugal s’appuyait sur une base de joueurs évoluant au Sporting, un luxe dans une ère post-Bosman où les sélections peuvent de moins en moins recopier ce qui est fait en club.

L’Espagne et, de façon assez proche, l’Allemagne l’ont fait ces dernières années. Mais tous les autres pays bricolent et, hormis le Chili sous Bielsa, ne peuvent pas pousser au maximum leur projet de jeu. Qu’on en tire de grandes conclusions ou non, qu’il y ait eu un Portugal-France en finale 2016 prouve que le style de jeu ne fait pas forcément le résultat.

« Pourquoi s’embêter à définir un style de jeu ? »

Et, en laissant à beaucoup une idée de concours de circonstances, de forme du moment et de chance, les résultats de ces deux pays ne va pas dans le sens d’un retour en arrière : si ce sont les joueurs et les détails qui décident en bonne partie du résultat d’un grand tournoi international, pourquoi s’embêter à définir un style de jeu ? Et pourquoi donc les stylistes, nombreux chez les grands coaches, iraient prendre un job qui occupe quelques jours par mois si leur patte n’aura qu’un effet limité ?

Le travail de Conte avec l’Italie était admirable mais il a suffi d’une séance de tirs au but pour que ce qui aurait pu être une épopée victorieuse devienne une élimination en quarts et un succès d’estime pour puristes.

Quels entraîneurs français ont revendiqué l’héritage des entraîneurs révolutionnaires que vous évoquez ? Avec quels résultats ?

Il est difficile de citer un grand entraîneur français ayant fait carrière en reprenant la majorité des principes évoqués dans le livre. L’exemple qui vient naturellement en tête est celui de Christian Gourcuff, auteur de la préface et qui avoue avoir copié Sacchi au niveau du système et des couvertures défensives au sein de sa zone.

Mais on ne peut pas parler d’héritage revendiqué, d’abord parce que le pressing de ses équipes n’a jamais été comparable, alors que ce pressing était peut-être la plus grande caractéristique des Milanais (plus que la zone, qui détonait surtout au niveau national), ensuite tout simplement vu le niveau des équipes que Gourcuff a coachées. Même en essayant, son Lorient n’aurait ainsi jamais pu approcher la façon de jouer d’une équipe bien plus douée, et le changement de règlement ne permet plus de jouer le hors-jeu comme à l’époque.

« En France, les écoles de jeu sont surtout calquées sur les idées prônées par la DTN »

De manière plus générale, on peut estimer que les entraîneurs français sont assez peu idéologues. Les débats sur la façon de jouer ont rythmé l’évolution du football italien, ce qu’on évoque longuement dans les chapitres sur Herrera et Sacchi, beaucoup moins en France. Le débat a eu rapidement lieu à l’époque où Miroir du football prêchait l’offensive alors que L’Equipe et France Football demandait du béton dans les années 50 mais, hormis l’héritage Jacquet post-98 et la filiation entre le jeu à la rémoise de Batteux et celui à la nantaise d’Arribas, les écoles de jeu se sont surtout calquées sur les idées prônées par la DTN.

Les entraîneurs français ont tout de même suivi les révolutionnaires mais sans forcément les imiter, même si les idées défensives du franco-argentin Herrera ont eu leurs adeptes. Je pense sincèrement qu’une partie de la nouvelle vague des coaches français essaie de s’inspirer de Guardiola, qui séduit aussi quelqu’un comme Furlan, et est celui dont les principes sont logiquement les plus actuels.

Mais cela se traduit plus dans des détails, comme la volonté de construire de derrière et la recherche de la possession, deux choses que le Catalan n’a pas inventées mais dont il incarne la réussite, que dans une affirmation officielle. Qui serait crédible en annonçant vouloir faire comme Cruyff ou Michels avec un effectif de milieu de tableau ?

En tout cas, quand Denoueix ou Roux voient le Dynamo de Lobanovski gagner la C2 depuis les tribunes [2] et en font encore l’éloge des années plus tard par exemple, on imagine que nos entraîneurs révolutionnaires ont forcément influencé beaucoup de techniciens.


 

De qui Didier Deschamps est-il l’héritier ?

Je ne sais pas si Deschamps est l’héritier d’un entraîneur en particulier mais je pense que la période qui a le plus influencé sa manière d’entraîner se situe autour de l’année 1998. Il y gagne le titre de champion du monde avec la France et reste sur trois finales de Ligue des champions de rang. Il est alors sous les ordres de Jacquet en sélection et de Lippi en club, deux hommes qui ont pour point commun le fait de beaucoup densifier le milieu de terrain.

Dans la philosophie, surtout maintenant qu’il est sélectionneur, j’ai tendance à voir plus de Jacquet, lequel était plus centré sur la notion de groupe qui veut aller vers un objectif commun. Dans le jeu, c’est sans doute plus Lippi, qui recherchait la complémentarité des profils et avait tendance à séparer l’équipe en deux blocs : les joueurs de devoir derrière et les fuoriclasse devant.

C’est une version plus actuelle qu’on retrouve par exemple en finale de l’Euro avec Matuidi et Sissoko d’entrée, Pogba étant l’élément créatif dont un entrejeu ne peut aujourd’hui – dans un football où le numéro 10 à l’ancienne est très dur à utiliser – plus se passer. Il est en tout cas plus de tradition italienne que nantaise, même si c’est avec Suaudeau qu’il a débuté chez les pros.

Dans les archives de L’Equipe, on retrouve d’ailleurs une interview avant la finale de Ligue des Champions 1994 où il prédit avec exactitude tout ce qu’il s’y déroulera [3]. Déjà, au-delà de ses sensibilités de spectateur neutre, on pouvait deviner que l’entraîneur qu’il deviendrait bien plus tard serait plus Capello que Cruyff.

Compte tenu de l’énorme potentiel offensif actuel des Bleus, ne serait-il pas logique de mettre en place une tactique plus ambitieuse, un 3-4-3 par exemple ?

J’ai tendance à beaucoup utiliser la formule « le plus grand risque serait de ne pas en prendre » et je pense que ça s’applique très bien à cette équipe de France. Je ne suis cependant pas persuadé qu’il faille raisonner en termes de systèmes, le 3-4-3 pour ne citer que celui mentionné dans la question pouvant être totalement déséquilibré vers l’avant comme chez Cruyff ou plutôt prudent avec Conte.

« Le trident Lemar-Griezmann-Mbappé doit faire exploser toutes les équipes du monde »

La question qui se pose est celle des profils et j’aurais tendance à reléguer assez loin les options Matuidi ou Sissoko, qui sont surtout utiles face aux trois pays qui sont a priori mieux armés que la France en ce moment : le Brésil, l’Espagne et l’Allemagne. Le Brésil car son milieu est très physique et travailleur, avec d’ailleurs une organisation de jeu pas si éloignées de ce que faisait Lippi puisque les attaquants font un peu leur vie de leur côté. L’Espagne et l’Allemagne pour l’incapacité à rivaliser dans le domaine de la possession, qui amène à faire la différence sur des transitions et projections tout en couvrant de larges zones même après 80 minutes à courir après le ballon.

Mais, au coup d’envoi de 90% des rencontres, je pense qu’il serait intéressant d’aligner le maximum de profils créatifs : un 4-3-3 avec Kanté-Pogba-Tolisso et un trident Lemar-Griezmann-Mbappé doit normalement faire exploser quasiment toutes les équipes du monde. Et si l’adversaire est regroupé, sortir Tolisso pour profiter du jeu de tête de Giroud en passant en 4-2-3-1 et lancer Coman ou Dembélé, habitués à évoluer dans des équipes dominantes et faire l’enchaînement débordement-centre...

Je ne prétends pas faire mieux que Deschamps mais la prudence de son jeu réduit autant l’écart par le haut que par le bas. Cela permet de battre l’Allemagne mais aurait pu coûter une élimination contre l’Irlande. Or, même si c’est rare, le parcours portugais l’a prouvé : on peut aller au bout d’une compétition sans affronter de cadors.

Quand vous voyez l’effectif actuel de l’équipe de France, imaginez-vous ce qu’en ferait un Guardiola, un Conte ou un Sarri ?

Il est presque difficile d’imaginer ce que ferait Conte avec un tel effectif, lui qui coache des grandes équipes mais n’a jamais eu autant de talents sous ses ordres. Il sublime le très bon mais difficile de dire s’il pourrait faire progresser l’exceptionnel, à l’inverse d’un Guardiola qui a besoin de joueurs de très haut niveau pour que ses idées prennent forme.

Sans vouloir faire une analyse détaillée qui tomberait à côté, le principal apport d’un Sarri ou Guardiola serait au niveau de la relance des centraux. Umtiti et Varane ont d’énormes qualités dans le domaine mais portent peu le ballon, or ils seraient ici amenés à le monter jusqu’à fixer l’attaquant pour créer un décalage, surtout dans le cas de Pep, et à tenter des passes verticales tranchantes au sol avec Sarri.

« J’imaginerais bien Conte dans un 3-4-3 avec Varane-Koscielny-Umtiti »

Cela donnerait forcément plus d’espaces aux milieux, qui reçoivent autrement la balle face à dix ou onze adversaires. Il y aurait également un pressing énorme au lieu du recul frein habituel, même si on peut se poser la question de la faisabilité d’une telle stratégie en sélection. N’oublions pas que monter pour récupérer le ballon nécessite une coordination entre tous les joueurs, sous peine de laisser d’énormes trous si une ligne ne monte pas.

J’imaginerais bien Conte dans un 3-4-3 avec Varane-Koscielny-Umtiti, ce qui aurait l’avantage de mettre trois excellents joueurs sur le terrain ensemble, avec Kurzawa d’un côté et Sissoko de l’autre et Kanté-Pogba au milieu. Ce serait en tout cas ce qui se rapproche le plus de ce qu’il fait à Chelsea. Je serais également curieux de voir comment Sarri utiliserait Pogba et disciplinerait les attaquants, lui qui demande un énorme travail sans ballon.

Est-ce qu’on peut décliner le jeu finalement assez ingrat d’un Callejon, qui court pour mettre l’adversaire sous pression ou faire des appels en profondeur, avec des techniciens de niveau supérieur ? Ce n’est pas le chemin que prend Emery avec Mbappé. Un Lemar en pleine forme serait lui un joyau dans les mains de Guardiola. Il est ce que la France a de plus proche des profils espagnols à la David Silva, Iniesta ou Isco, ces milieux au pied soyeux qui s’insèrent entre les lignes et peuvent briller comme ailiers, meneurs voire même plus bas, comme le font Silva et De Bruyne à City.

Rien ne dit que les résultats seraient meilleurs tant le football international se joue sur des détails mais il y aurait sans doute la mise en place d’une école de jeu qui n’aurait que des effets positifs. Il suffit de voir les résultats du Chili après le passage de Bielsa et le cap passé par plusieurs joueurs.

La FFF serait-elle capable d’aller débaucher un technicien étranger, comme elle l’avait fait avec Stefan Kovacs en 1973 ?

En l’état cela paraît être de la science-fiction. Généralement, on va chercher ailleurs ce qu’on ne trouve pas chez soi. Et la France a Zinédine Zidane, Rudi Garcia ou Claude Puel. Je ne pense pas que ces entraîneurs soient les meilleurs du monde mais, malgré des carrières en dents de scie (même si tout est relatif, surtout dans le cas de ZZ), ils ont prouvé qu’ils savaient faire gagner des Ronaldo, Hazard ou Ben Arfa en proposant un jeu tourné vers l’offensive.

A l’échelle internationale, leurs CV seraient loin de faire tache et je suis persuadé qu’ils pourraient tout à fait obtenir des résultats intéressants. Dans l’absolu, je trouverais intéressant d’aller confronter la vision d’un étranger à ce qui se fait ici mais je ne suis pas sûr qu’un technicien, même reconnu, serait accepté.

« Il faut avoir du charisme et de la crédibilité pour fédérer loin de chez soi »

Conte, Mourinho, Guardiola parviendraient sans doute à aligner tout le monde, Klopp, Pochettino, Heynckes probablement, mais après ? Emery, qui avait tout de même géré Villa, Silva et Mata dans l’un des clubs les plus instables qui soient [4] et fut le premier à vraiment maîtriser Banega, en plus d’avoir gagné trois coupes européennes de rang, a vécu des moments difficiles avec la presse et ne semble pas totalement en contrôle de son groupe cette année. Et, sur le papier, je ne pense pas qu’un étranger plus réputé que lui pourrait être intéressé.

Il faut avoir du charisme et de la crédibilité pour fédérer loin de chez soi. Que Zidane, Di Francesco ou Valverde réussissent dans leur ancien club n’est ainsi probablement pas un hasard. Même si je n’y crois donc absolument pas, je trouve amusant de réfléchir à l’idée de tel ou tel coach à la tête des Bleus.

Est-ce que Ancelotti, qui a vécu son premier échec de gestion humaine dans un Bayern où il aurait probablement dû maintenir l’énorme intensité des entraînements de Guardiola, pourrait être intéressé par le poste et y apporter quelque chose de neuf ? La question se posera sans doute si les Bleus sont au fond du trou.

Quand l’Angleterre s’est résolue à chercher Eriksson [5], c’est que les choses allaient bien mal et que les sélectionneurs successifs donnaient l’impression de tourner en rond. Même s’il y a quelques purges et une belle marge de progression, on en est heureusement loin.

[1Ecoutez les podcasts de l’émission hebdomadaire Vu du banc.

[2En mai 1986, 3-0 contre l’Atlético de Madrid à Lyon.

[3L’AC Milan avait écrasé le Barça de Cruyff 4-0

[4Le Valence CF, entre 2008 et 2012.

[5Sven-Goran Eriksson, premier sélectionneur étranger (suédois) de l’Angleterre entre 2001 et 2006.

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