Huit victoires cette année, dont deux en Allemagne et en Italie, mais aussi trois défaites dont une déprimante contre l’Espagne : 2012 est une année de transition qui a commencé comme elle a fini.
2012, un bilan en Bleu (5/6) : les matches

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Huit victoires cette année, dont deux en Allemagne et en Italie, mais aussi trois défaites dont une déprimante contre l’Espagne : 2012 est une année de transition qui a commencé comme elle a fini.
Quatre quasi-indéboulonnables pour trois postes : en 2012, l’attaque aura été le secteur le moins soumis à la concurrence. Franck Ribéry est d’ailleurs le seul des 36 sélectionnés de l’année à avoir participé à tous les matches.
A l’occasion de la publication de ses Carnets secrets, Michel Hidalgo a accordé à Chroniques bleues un entretien passionnant sur la naissance du carré magique, sa façon de gérer les conflits, le débat entre puissance et technique ou son coaching lors de France-RFA.
Notre rétro de l’année 2012 continue avec la troisième partie consacrée aux joueurs. Tout comme la défense, l’entrejeu a été profondément remanié cette année avec 16 joueurs appelés et bien peu de certitudes.
De Rennes à Bloemfontein, Raymond Domenech a navigué pendant six ans seul à la barre des Bleus. C’est cette grande traversée, avec ses instants de bonheur et ses catastrophes en série que l’ancien sélectionneur raconte dans Tout seul (Flammarion).
La rétro 2012 continue avec une deuxième partie toujours consacrée aux joueurs, en l’occurrence à la ligne défensive qui n’a pas arrêté de bouger cette année. Douze défenseurs pour quatre postes, qui dit mieux ?
Premier volet de notre rétrospective de l’année 2012 qui en comptera six, en commençant par les joueurs. Gros plan aujourd’hui sur les cages, où Hugo Lloris semble inamovible. Mais derrière lui, ça pourrait bouger...
Le héros du France-Bulgarie de novembre 1984, c’est évidemment Michel Platini. Pourtant, derrière une cage, le petit Jean-Marc Pineau, 12 ans aux fraises et ramasseur de balle, va passer à la télé...
La troisième victoire des Bleus en Italie, les débuts de Trémoulinas, Gomis et Valbuena qui passent la troisième et la disparition des Français d’Italie : les panelli di controllo sont arrivés.
Après l’Angleterre, le Brésil et l’Allemagne, les Bleus continuent leur série amicale contre les anciens champions du monde. La belle victoire (2-1) en Italie confirme en tout cas les progrès aperçus à Madrid.