Premier volet de la trilogie sur le moteur à trois temps des Bleus : avant de gagner l’Euro 1984, Michel Hidalgo avait connu la chute de Hanovre contre la RFA en 1980 et le rebond du Parc face aux Pays-Bas en 1981.
Euro 1984
Le point d’orgue de l’ère Hidalgo coïncide avec l’explosion de Platini, l’installation de Bossis dans l’axe et la mise en place d’un carré magique en équilibre. Le résultat, c’est un feu d’artifice offensif et émotionnel qui culmine lors du match de Nantes face à la Belgique et de la demi-finale de Marseille contre le Portugal.
Trente-neuf finalistes pour l’Histoire
Il y a ceux qui ont gagné leurs deux finales, comme Didier Deschamps, et ceux qui ont perdu la seule qu’ils ont jouée, comme Florent Malouda. Et il y en a 37 autres qui seront rejoints dimanche soir par 14 nouveaux. Bilan.
Histoire des France-Portugal (2) : la onzième était de trop
Depuis 1978, il n’y a plus de match : dix fois sur dix, l’équipe de France l’a emporté. Les Bleus sont désormais les Allemands des Portugais, mais ces derniers prennent leur revanche en finale de l’Euro.
En attendant l’Euro : les exemples à suivre
En 1984 et 2000, les Bleus abordent l’Euro en favoris de la compétition. Ils franchiront tous les obstacles grâce à des joueurs au sommet de leur talent et à un mental exemplaire.
En attendant l’Euro : un an avant les conquêtes
Dans un an commencera l’Euro 2016. Que s’est-il passé pour les Bleus douze mois avant l’Euro 1984, le Mondial 1998 et l’Euro 2000 ? Rien de bien encourageant. Début de notre série En attendant l’Euro.
1984, une année dans le siècle
C’est l’année parfaite, celle de toutes victoires et de tous les records. Collectifs avec le titre européen et un fond de jeu inégalé, individuels avec les treize buts d’un Michel Platini en état de grâce.