Finales

Ce sont rarement de beaux matchs, car l’enjeu dévore presque toujours le jeu et stérilise les prises de risques. Si pour les Bleus celles de 1998, 2000, 2018 et 2022 ont été au moins vivantes et riches en surprises, celles de 1984 et 2016 auraient été des matchs vite oubliés s’il n’y avait pas eu un titre à conquérir au bout. Mais il y a toujours des choses à raconter.

La Coupe du monde idéale