Comme en Suède à l’époque de Kopa et Fontaine, les Bleus ont gagné le match pour la troisième place face à l’Allemagne, certes dans des proportions moindres. Mais on prend.
[925] Allemagne-France (0-2) : un podium en mode 1958

Avant et après chaque match des Bleus, trois articles publiés à chaud : le matin du match avec les enjeux de la rencontre à venir, dans l’heure qui suit le coup de sifflet final un retour en cinq questions et autant de réponses (ou de tentatives). Et le lendemain dans la journée, les tableaux de bord avec des stats inédites, surprenantes ou improbables.
Comme en Suède à l’époque de Kopa et Fontaine, les Bleus ont gagné le match pour la troisième place face à l’Allemagne, certes dans des proportions moindres. Mais on prend.
L’histoire des précédents matchs pour la troisième place de l’équipe de France, les matchs du 8 juin, les stats à surveiller avec Lucas Chevalier, Loïc Badé, Kylian Mbappé, une éventuelle troisième victoire allemande consécutive et le code-barres.
Les défaites en marquant quatre buts, un même arbitre deux matchs d’affilée, la moyenne d’âge et le cumul de sélections, le 116e pénalty, le 100e débutant buteur et le 40e contre son camp : les tableaux de bord sont laminés, eux aussi.
Dominatrice en début de match puis giflée comme à l’Euro, noyée avant l’heure de jeu puis enfin efficace mais trop tard, une équipe de France d’attaque mais sans défense a montré beaucoup de promesses mais trop de lacunes.
Le taux de réussite des Bleus en demi-finale, le code-barre d’Espagne-France, les matchs joués un 5 juin et les stats à surveiller avec Kalulu, Mbappé, Cherki, Maignan ou Rabiot.
Le premier but bleu le plus tardif depuis 2013, enfin un coup franc direct, la dixième séance de tirs au but en compétition, les débuts de Doué et le premier but d’Olise : les tableaux de bord n’ont plus le blues.