Porteur d’un patronyme de fou du roi et affublé d’un prénom difficile à porter qu’il a lui-même changé, Marcel Triboulet a fait huit jours de salle de police pour avoir joué en sélection lors d’une permission, en 1912.
1911
Les premiers Bleus : Charles et Georges Geronimi
C’est l’une des fratries de l’équipe de France, mais Charles et Georges Geronimi n’ont pas joué ensemble lors de leur unique sélection. Le premier est mort à 23 ans, le deuxième a vécu centenaire.
Les premiers Bleus : Pol Morel, l’instituteur fils de garde-barrière
Cas probablement unique d’enseignant parmi les internationaux français en activité, Pol Gaston Morel fait partie des Bleus tués lors de la Première Guerre mondiale, à seulement 25 ans. Il compte deux sélections en 1911.
Les premiers Bleus : Alfred Gindrat, le fils du cocher suisse
Né Suisse par son père et reconnu par sa mère à 26 ans, Alfred Gindrat a connu une carrière tardive et modeste en sélection nationale et formait avec Lucien Gamblin un duo redouté en défense.
Les premiers Bleus : Henri Beau, qui se faisait appeler Coulon
C’est, chronologiquement, le huitième gardien de but de l’équipe de France, avec ses cinq sélections en 1911. Mais pourquoi, après 13 ans de carrière, Henri Beau s’est-il fait appeler Coulon ?
Les premiers Bleus : Gaston Barreau, un foulard autour du cou
Avant d’être le sélectionneur indéboulonnable de l’équipe de France pendant 38 ans, Gaston Barreau a été international sur le tard entre 1911 et 1914, où il format avec Jean Ducret un duo technique au cœur du jeu.