Le 11 octobre 1997 à Lens, les équipes de France et d’Afrique du Sud s’affrontent pour la première fois en match amical, sans savoir qu’elles allaient se retrouver quelques mois plus tard en Coupe du monde.
Aimé Jacquet
Aimé Jacquet restera dans l’histoire comme le sélectionneur des champions du monde 1998, au terme d’une compétition où il avait été constamment décrié par les médias. Né né le 27 novembre 1941 à Sail-sous-Couzan, il fait l’essentiel de sa carrière de joueur à Saint-Etienne (jusqu’en 1973) avant de rejoindre Lyon, où il débute son parcours d’entraîneur. Il prend la succession de Gérard Houllier à la tête de l’équipe de France fin 1993 et construit une équipe à la solidité défensive exemplaire, et ne perd que trois matches sur 53 dirigés jusqu’en 1998.
Sélectionneurs, une vie après les Bleus
L’annonce de l’arrivée surprise de Raymond Domenech sur le banc du FC Nantes, quelques jours après la signature de Laurent Blanc à Al-Rayyan donne l’occasion de revenir sur les parcours des ex-sélectionneurs.
Matthew Spiro : « La France a tellement de talents ! »
Journaliste à BeIN Sports pour qui il couvre le football français à l’international, Matthew Spiro suit les Bleus depuis 2002. Il a travaillé notamment pour la BBC, le Daily Telegraph, le site de l’UEFA ou le Times. Il est l’auteur de « Sacré Bleu », pas encore traduit en français.
12 juillet 1998 : France-Brésil
C’est le match le plus important de l’histoire de l’équipe de France. Il s’agit de la finale de Coupe du monde, disputée à domicile face au tenant du titre et grand favori. Mais c’est surtout un match qui a changé la perception du foot dans la société française.
Ce que l’équipe de France doit à l’AS Saint-Etienne
Avant les Bleus, il y a eu les Verts. Grande pourvoyeuse d’internationaux dans les années 60 et 70, très présente à la Coupe du monde 1982, l’AS Saint-Etienne a aussi fourni plusieurs sélectionneurs à la FFF.
Chute, rebond, sommet (2/3) : 1993-1998
Deuxième partie de la mini-série sur le moteur à trois temps de l’équipe de France : celle consacrée aux 57 mois qui séparent la défaite contre Israël à l’automne 1993 du triomphe du 12 juillet 1998. Avec, entre les deux, une victoire fondatrice à Bucarest contre la Roumanie…