En plein soleil ou sous les étoiles, l’heure du match influe-t-elle sur le résultat ? Voici un test comparatif diurne/nocturne sur les 105 rencontres des Bleus en phase finale européenne et mondiale, triées minute par minute.
Coupe du Monde 1998
Qui aurait cru que Donna Summer avait créé le premier tube mondialiste ? La France entière chante I will survive après le triomphe inattendu d’une équipe bâtie sur une défense inoxydable et un funambule capable de jouer son destin sur deux coups de tête.
Trente-neuf finalistes pour l’Histoire
Il y a ceux qui ont gagné leurs deux finales, comme Didier Deschamps, et ceux qui ont perdu la seule qu’ils ont jouée, comme Florent Malouda. Et il y en a 37 autres qui seront rejoints dimanche soir par 14 nouveaux. Bilan.
En attendant l’Euro : les meilleurs à la maison
C’est la sixième fois que la France est pays hôte d’une compétition internationale. Elle a gagné les trois dernières avec 16 victoires et 1 nul en 17 matches. Comment se situe-t-elle par rapport à l’Allemagne, l’Italie, le Brésil, l’Argentine et l’Uruguay ?
David Trezeguet, l’héritier de Fontaine et Papin
Sa brillante et frustrante carrière en bleu gardera l’empreinte de l’Italie, contre laquelle il a d’abord transformé un tir au but en 1998, marqué un sublime but en or en 2000, et trouvé la barre au bout de la finale de 2006. Ce joueur-là, on l’a beaucoup aimé.
Doyens et benjamins, portraits croisés
Entre Lucas Digne et Mickaël Landreau, il y a plus de quatorze ans d’écart. C’est presque un maximum chez les Bleus en coupe du monde. De Pinel à Gallas en passant par Trezeguet et Giresse, voici l’histoire des benjamins et des doyens depuis 1930.
5 mai 1998 : et Jacquet donna 28 noms
Suspense, mystère et stupéfaction : à Clairefontaine, Aimé Jacquet donne sa liste pour la coupe du monde 1998. Et elle compte 28 noms, soit, comme le dit France 3, six de trop. C’est le drame.