Laurent Blanc, les soixante ans du Président

Publié le 19 novembre 2025 - Richard Coudrais

Laurent Blanc est une figure majeure des années 1998-2000 de l’équipe de France. Il fête ses soixante ans le 19 novembre 2025.

9 minutes de lecture

C’est peu dire que Laurent Blanc a marqué l’histoire de l’équipe de France. La tête haute et le port altier, il incarnait une certaine élégance presque désuète à une époque où l’on exigeait déjà des combattants plus que des esthètes. Il fut l’inamovible libéro des années de gloire de la sélection tricolore, championne du monde 1998 et championne d’Europe 2000. Paradoxalement, le Montpelliérain a connu une carrière en club beaucoup moins linéaire, ne restant pas plus de deux ans sous le même maillot. On l’a vu passer dans neuf clubs et trois championnats pour peu de titres conquis. Plus tard, son attachement à l’équipe de France l’a conduit à en prendre les destinées, pour une aventure qui ne dura guère que deux saisons.

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Le numéro 10 du futur

Laurent Blanc apparaît au sein de l’équipe de France au cours d’un match amical à Dublin, en février 1989. Le sélectionneur Michel Platini prépare son équipe à un décisif Écosse-France, qualificatif pour la Coupe du monde 1990, et cherche à imprégner ses joueurs de football à la Britannique. Il est aussi à la recherche d’un meneur de jeu et le profil de Laurent Blanc lui plait.

A vingt-trois ans, le joueur de Montpellier, né le 19 novembre 1965 à Alès, en est à sa deuxième saison en première division. Avec son club, il s’est forgé un caractère dans les rudes combats de la deuxième division sans se départir d’une certaine élégance dans la conduite du jeu. Il s’est ensuite distingué avec l’équipe de France espoirs aux côtés de Cantona, Paille, Sauzée, Angloma, Casoni, Guérin et les Bleuets conduits par Marc Bourrier qui ont conquis le titre européen de leur catégorie en 1988.

A Dublin, Laurent Blanc démontre qu’il a les capacités à devenir le grand numéro 10 que la France cherche depuis le retrait de Platini, et qu’elle n’a pas encore trouvé malgré le talent des Ferreri, Vercruysse, Touré, Passi et autres Bravo. Doté d’une bonne technique et d’une excellente vision du jeu, le 699e joueur de l’histoire de l’équipe de France réalise une prestation convaincante, même s’il est remplacé en seconde période par Philippe Vercruysse.

Le Montpelliérain dispute son premier match complet une semaine plus tard à Londres contre le club d’Arsenal, une rencontre qui ne compte pas pour une sélection. Il est ensuite plongé dans le grand bain à Glasgow pour le match décisif contre l’Ecosse. La défaite (2-0) est sans appel et le Mondiale italien s’éloigne pour les Bleus. Laurent Blanc garde toutefois la confiance de Michel Platini, même si la concurrence de Jean-Marc Ferreri ou de Christian Perez l’envoie souvent sur le banc de touche.

Défense centrale

Le match France-Chypre à Toulouse clôt le parcours éliminatoire des Français qui regarderont le Mondiale à la télévision. Les Bleus s’imposent 2-0 sur des buts des jeunes Deschamps et Blanc. C’est le premier but en Bleu de l’Héraultais, qui est entré au cours de la première mi-temps après la blessure de Christian Perez. Deux mois plus tard, il inscrit un nouveau but face au Koweït lors d’une tournée dans l’émirat où il est titulaire lors des trois rencontres.

Le stade de la Mosson dont il est déjà l’idole accueille l’équipe de France en février 1990 pour une rencontre amicale face à la RFA. Le sélectionneur a choisi de laisser le régional de l’étape sur le banc, mais à la suite d’une blessure de Basile Boli juste après la mi-temps, il le fait entrer pour jouer à un poste inhabituel en défense centrale. Le dépannage se passe plutôt bien, mais on ignore alors qu’il va conditionner la suite de sa carrière.

Laurent Blanc libéro ? La question se pose aussi dans le club de Montpellier, où l’entraîneur Michel Mézy tente l’expérience au début de la saison 1990/1991. Porté par une belle campagne européenne, celle où le club héraultais élimine le PSV et le Steaua avant de succomber face à Manchester, l’ancien numéro 10 trouve un rôle qui lui va comme un gant. Il organise le jeu en position plus reculée et, à la manière d’un Franz Beckenbauer, s’autorise de nombreuses excursions dans le camp adverse pour satisfaire sa soif de buts.

Chez les Bleus, le Montpelliérain trouve toutefois la concurrence inattendue de Franck Sauzée, mais ce dernier manifeste rapidement l’envie de retourner au milieu du terrain. En octobre 1990, à l’occasion de la réception de la Tchécoslovaquie au Parc des Princes, Laurent Blanc est titularisé pour la première fois comme libéro de l’équipe de France. Un poste qu’il ne quittera plus et où il rencontrera peu de concurrence. Le défenseur héraultais dispute les huit rencontres du grand chelem des Tricolores en éliminatoires de l’Euro 1992 (8 matchs, 8 victoires). Il marque notamment un but contre l’Espagne (3-1) en février.

Fin de carrière internationale à 28 ans

Entre-temps, le nouveau libéro de l’équipe de France quitte son club formateur pour rejoindre le Napoli, à une époque où il était encore rare qu’un joueur français tente l’aventure à l’étranger. Laurent Blanc ne reste toutefois qu’une seule saison au pied du Vésuve, les Napolitains lui reprochant un esprit offensif trop débridé et un manque apparent de combativité.

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L’Euro 1992 constitue pour Laurent Blanc sa première phase finale d’une grande compétition. Celle-ci conduit l’équipe de France à une élimination précoce et inattendue. A l’issue du tournoi, l’ancien Montpelliérain retrouve le championnat français. Il rejoint son ancien entraîneur Michel Mézy à Nîmes, grand rival du Montpellier-Hérault. Malgré une saison difficile (le club gardois terminera dernier), Laurent Blanc garde la confiance du nouveau sélectionneur Gérard Houllier. Le néo-Nîmois inscrit notamment deux deux buts à Tel Aviv contre Israël.

Au cours de l’été 1993, Laurent Blanc réalise son troisième transfert en trois intersaisons. Il signe à Saint-Etienne dont la récente septième place laisse augurer un renouveau. La saison ne manque pas de contrariétés. Les Verts ne parviennent pas à renouveler leurs bons résultats. Quant aux Bleus, ils sabotent leur parcours éliminatoire avec deux ahurissantes défaites consécutives au Parc contre Israël puis la Bulgarie. Dégouté par cette élimination, et surtout par l’ambiance au sein de la sélection, l’ancien Montpelliérain annonce qu’il ne reviendra plus en équipe de France.

Aimé Jacquet, le nouveau sélectionneur, trouvera les mots pour le faire revenir sur sa décision. Laurent Blanc effectue son retour à l’occasion de la Kirin Cup au Japon, et se lance dans les éliminatoires de l’Euro 1996. Il devient l’inamovible défenseur central de la sélection. Au cours de l’été 1995, il quitte Saint-Etienne après deux saisons de galère pour se retrouver à Auxerre, où il côtoie enfin les sommets du football français. L’équipe de Guy Roux réalise une saison parfaite en réalisant le doublé Coupe-Championnat. Toutefois son libéro ne s’éternise pas en Bourgogne. Arrêt Bosman aidant, il signe au FC Barcelone.

La lumière est venue...

L’Euro 1996 permet à l’équipe de France de reprendre pied en phase finale. Elle a adopté un style défensif qui lui permet d’aller jusqu’en demi-finales. Laurent Blanc, qui vient de franchir la barre des trente ans, dispute les cinq rencontres et inscrit un but au premier tour contre la Bulgarie. Par la suite, son expérience à Barcelone est mitigée. Le défenseur des Bleus fait son retour en 1997 dans le championnat français et signe à l’Olympique de Marseille dirigé par Roland Courbis.

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La Coupe du monde 1998 arrive. Laurent Blanc est la clé de voûte de la défense française aux côtés de Marcel Desailly, Lilian Thuram et Bixente Lizarazu. Sa stature et son autorité sont telles qu’on lui attribue le surnom de Président. Il devient une des figures de l’épopée, notamment grâce à son but en or à Lens, qui délivre tout un pays en sortant son équipe d’un huitième de finale étouffant contre le Paraguay. Le baiser qu’il pose sur le front de Fabien Barthez à chaque début de rencontre fait en outre la joie des photographes.

Mais le parcours du Président est écorné par le carton rouge qu’il reçoit en demi-finale contre la Croatie après une altercation avec Slaven Bilic. La sanction le prive de la finale (il est remplacé par Frank Lebœuf) mais pas du titre de champion du monde. Ses coéquipiers lui permettent d’assister Didier Deschamps à la remise du trophée et de figurer sur les photos pour l’histoire.

Son parcours deux ans plus tard lors de l’Euro 2000 sera plus propre puisqu’il sera présent jusqu’au bout de l’aventure après en avoir marqué le premier but. Entre-temps, le Président à de nouveau changé de club pour tenter une nouvelle expérience à l’étranger, avec l’Inter Milan.

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Le capitaine et le Président

Le 2 septembre 2000, à l’occasion d’un match amical au Stade de France contre l’Angleterre, Laurent Blanc dispute, avec Didier Deschamps et Bernard Lama, son match d’adieu avec les Bleus. Lorsqu’il sort à l’heure de jeu, il clôt une histoire riche de quatre-vingt-dix-sept sélections et seize buts. Le Cevenol poursuit sa carrière en club jusqu’à l’âge de trente-huit ans, avec deux saisons pleines à Manchester United, mais il ne parvient pas à remporter ce qui était son ultime objectif, la Ligue des champions.

Sa carrière de sélectionneur sera moins longue et moins fructueuse que celle du joueur. Au cours de l’été 2010, l’entraîneur qui a conduit Bordeaux au titre de champion de France 2009 récupère une équipe de France traumatisée par huit ans de Domenech et une pathétique campagne sud-africaine marquée par la grève de Knysna. S’il parvient à qualifier les Bleus pour l’Euro 2012, et à l’emmener jusqu’en quarts de finale, l’expérience est également marquée par une stupide affaire des quotas et ne lui donne pas envie de poursuivre l’aventure. Il cède volontiers son poste à Didier Deschamps.

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97 sélections, 16 buts (dont un en or)

Laurent Blanc a disputé exactement cent-un matchs avec l’équipe de France, mais seulement 97 sont comptabilisés comme sélections. Son bilan est de 62 victoires, 25 matchs nuls et 10 défaites. En 8230 minutes jouées (selon le site FFF), il a inscrit 16 buts et compte une expulsion. Il a porté quatre fois le brassard de capitaine. De 1989 à 2000, il a connu quatre sélectionneurs : Michel Platini, Gérard Houllier, Aimé Jacquet et Roger Lemerre.

1 Amical 07/02/1989 Dublin Irlande 0-0 67>
14/02/1989 Londres Arsenal FC 0-2 90
2 qCM 1990 08/03/1989 Glasgow Écosse 0-2 90
3 qCM 1990 29/04/1989 Paris (Parc) Yougoslavie 0-0 90
4 Amical 16/08/1989 Malmö Suède 4-2 >20
5 qCM 1990 05/09/1989 Oslo Norvège 1-1 >15
6 qCM 1990 18/11/1989 Toulouse Chypre 2-0 >73 1 but
18/01/1990 Koweït City Al-Qadysia 0-3 90
7 Amical 21/01/1990 Koweït City Koweït 1-0 90 1 but
8 Amical 24/01/1990 Koweït City RDA 3-0 84>
9 Amical 28/02/1990 Montpellier RFA 2-1 >41
10 Amical 28/03/1990 Budapest Hongrie 3-1 >11
11 qEuro 1992 05/09/1990 Reykjavik Islande 2-1 >76
12 qEuro 1992 13/10/1990 Paris (Parc) Tchécoslovaquie 2-1 90
13 qEuro 1992 17/11/1990 Tirana Albanie 1-0 90
14 qEuro 1992 20/02/1991 Paris (Parc) Espagne 3-1 90 1 but
15 qEuro 1992 30/03/1991 Paris (Parc) Albanie 5-0 90
16 Amical 14/08/1991 Poznan Pologne 5-1 90 1 but
17 qEuro 1992 04/09/1991 Bratislava Tchécoslovaquie 2-1 90
18 qEuro 1992 12/10/1991 Séville Espagne 2-1 90
19 qEuro 1992 20/11/1991 Paris (Parc) Islande 3-1 90
20 Amical 19/02/1992 Londres Angleterre 0-2 90
21 Amical 27/05/1992 Lausanne Suisse 1-2 90
22 Amical 05/06/1992 Lens Pays-Bas 1-1 90
23 Euro 1992 10/06/1992 Solna Suède 1-1 90
24 Euro 1992 14/06/1992 Malmö Angleterre 0-0 90
25 Euro 1992 17/06/1992 Malmö Danemark 1-2 90
26 Amical 26/08/1992 Paris (Parc) Brésil 0-2 65>
27 qCM 1994 09/09/1992 Sofia Bulgarie 0-2 >61
19/01/1993 Lisbonne Sporting CP 3-1 90
28 qCM 1994 17/02/1993 Tel Aviv Israël 4-0 90 2 buts
29 qCM 1994 27/03/1993 Vienne Autriche 1-0 90
30 19/04/1993 Lyon Ol.Lyon 4-1 90 1 but (cap)
30 qCM 1994 28/04/1993 Paris (Parc) Suède 2-1 90
31 Amical 28/07/1993 Caen Russie 3-1 90
32 qCM 1994 22/08/1993 Solna Suède 1-1 90
33 qCM 1994 08/09/1993 Tampere Finlande 2-0 90 1 but
34 qCM 1994 13/10/1993 Paris (Parc) Israël 2-3 90
35 qCM 1994 17/11/1993 Paris (Parc) Bulgarie 1-2 90
36 Amical 26/05/1994 Kobé Australie 1-0 90
37 Amical 29/05/1994 Tokyo Japon 4-1 90
38 Amical 17/08/1994 Bordeaux Rep. Tchèque 2-2 90
39 qEuro 1996 07/09/1994 Bratislava Slovaquie 0-0 90
40 qEuro 1996 08/10/1994 Saint-Étienne Roumanie 0-0 90
41 qEuro 1996 16/11/1994 Zabrze Pologne 0-0 90
42 qEuro 1996 13/12/1994 Trabzon Azerbaïdjan 2-0 90
43 Amical 18/01/1995 Utrecht Pays-Bas 1-0 90
44 qEuro 1996 29/03/1995 Tel Aviv Israël 0-0 90
45 qEuro 1996 26/04/1995 Nantes Slovaquie 4-0 90 1 but
46 Amical 22/07/1995 Oslo Norvège 0-0 90
47 Amical 27/03/1996 Bruxelles Belgique 2-0 90
48 Amical 01/06/1996 Stuttgart Allemagne 1-0 90 1 but
49 Amical 05/06/1996 Villeneuve d’Ascq Arménie 2-0 90
50 Euro 1996 10/06/1996 Newcastle Roumanie 1-0 90
51 Euro 1996 15/06/1996 Leeds Espagne 1-1 90
52 Euro 1996 18/06/1996 Newcastle Bulgarie 3-1 90 1 but
53 Euro 1996 22/06/1996 Liverpool Pays-Bas 0-0 (5-4 tab) 120
54 Euro 1996 26/06/1996 Manchester Rep. Tchèque 0-0 (4-5 tab) 120
55 Amical 31/08/1996 Paris (Parc) Mexique 2-0 90
56 Amical 09/10/1996 Paris (Parc) Turquie 4-0 90 1 but
57 Amical 22/01/1997 Braga Portugal 2-0 90
58 Amical 26/02/1997 Paris (Parc) Pays-Bas 2-1 90 (cap)
59 Amical 02/04/1997 Paris (Parc) Suède 1-0 90 (cap)
60 Amical 03/06/1997 Lyon Brésil 1-1 90
61 Amical 07/06/1997 Montpellier Angleterre 0-1 90
62 Amical 11/10/1997 Lens Afrique du sud 2-1 90
63 Amical 12/11/1997 Saint-Etienne Écosse 2-1 90
64 Amical 28/01/1998 Saint-Denis Espagne 1-0 90
65 Amical 25/02/1998 Marseille Norvège 3-3 90 1 but
66 Amical 22/04/1998 Solna Suède 0-0 90
67 Amical 27/05/1998 Casablanca Belgique 1-0 90
68 Amical 29/05/1998 Casablanca Maroc 2-2 (5-6 tab) 90
69 Amical 05/06/1998 Helsinki Finlande 1-0 90
70 CM 1998 12/06/1998 Marseille Afrique du sud 3-0 90
71 CM 1998 18/06/1998 Saint-Denis Arabie Saoudite 4-0 90
72 CM 1998 28/06/1998 Lens Paraguay 1-0 (prol) 114 1 but
73 CM 1998 03/07/1998 Saint-Denis Italie 0-0 (4-3 tab) 120
74 CM 1998 08/07/1998 Saint-Denis Croatie 2-1 74
75 qEuro 2000 10/10/1998 Moscou Russie 3-2 90
76 qEuro 2000 14/10/1998 Saint-Denis Andorre 2-0 90
77 Amical 20/01/1999 Marseille Maroc 1-0 90
78 Amical 10/02/1999 Londres Angleterre 2-0 90
79 qEuro 2000 27/03/1999 Saint-Denis Ukraine 0-0 90
80 qEuro 2000 31/03/1999 Saint-Denis Arménie 2-0 90
81 qEuro 2000 05/06/1999 Saint-Denis Russie 2-3 90
82 Amical 18/08/1999 Belfast Irlande du Nord 1-0 90 (cap)
83 qEuro 2000 04/09/1999 Kiev Ukraine 0-0 90
84 qEuro 2000 08/09/1999 Erevan Arménie 3-2 90
85 qEuro 2000 09/10/1999 Saint-Denis Islande 3-2 90
86 Amical 23/02/2000 Saint-Denis Pologne 1-0 45>
87 Amical 29/03/2000 Glasgow Écosse 2-0 90
88 Amical 26/04/2000 Saint-Denis Slovénie 3-2 90 1 but
89 Amical 28/05/2000 Zagreb Croatie 2-0 75>
90 Amical 04/06/2000 Casablanca Japon 2-2 (4-2 tab) 90
91 Euro 2000 11/06/2000 Bruges Danemark 3-0 90 1 but
92 Euro 2000 16/06/2000 Bruges Rep. Tchèque 2-1 90
93 Euro 2000 25/06/2000 Bruges Espagne 2-1 90
94 Euro 2000 28/06/2000 Bruxelles Portugal 2-1 (prol) 117
95 Euro 2000 02/07/2000 Rotterdam Italie 2-1 (prol) 103
96 Amical 16/08/2000 Marseille Sélection FIFA 5-1 51>
97 Amical 02/09/2000 Saint-Denis Angleterre 1-1 57>

pour finir...

La rédaction de cet article a nécessité la consultation des sites selectiona.free.fr,
So Foot, L’Équipe, FFF, Wikipédia, la relecture d’anciens exemplaires de France-Football, L’Équipe, Mondial, Onze, Onze-Mondial... ainsi que des ouvrages « La fabuleuse histoire du football » de Jacques Thibert et Jean-Phlippe Rethacker (Nathan, 1990), « L’intégrale de l’équipe de France de football » de Pierre Cazal, Jean-Michel Cazal et Michel Oreggia (First édition, 1998), « Les 1000 joueurs de l’équipe de France » de Jérôme Bergot (Talent Sport, 2021), « Sélectionneur des Bleus » de Pierre Cazal (Mareuil, 2021), « Le Dico des Bleus » de Matthieu Delahais, Bruno Colombari et Alain Dautel (Marabout, 2017-2018-2022), les éditions 1987 à 1989 de « L’année du football » de Jacques Thibert (Calmann-Levy), les éditions 1990, 1991 et 1992 de « L’album du football » de Jacques Thibert (Favre) et « L’album du football 1993 » de Jacques Thibert (Scaneditions).

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