Ajusteur de formation, ce petit gabarit au jeu de tête extraordinaire, très précis dans ses passes, a été 12 fois capitaine des Bleus avant-guerre, en 20 sélections, un record à l’époque. Il a même eu une marque de chaussures à son nom.
1911
Les premiers Bleus : Etienne Jourde et Henri Viallemonteil
Tous deux vainqueurs de l’Italie en mars 1912 à Turin, Etienne Jourde et Henri Viallemonteil ont d’autres points communs : le club, le métier (photograveur), diminués par des blessures et morts prématurément.
Les premiers Bleus : Henri Vascout et le coup du parapluie
Avec un patronyme écrit de trois manières différentes et deux prénoms dont l’un ne figure pas dans son état-civil, Henri Vascout est un exemple de casse-tête généalogique. Et mieux valait pour le corps arbitral ne pas contrarier sa mère...
Les premiers Bleus : Henri Bellocq, l’hypothèse alsacienne
International entre 1909 et 1911, Henri Bellocq a mystérieusement disparu pendant la Première Guerre mondiale. Pas disparu au sens de tué, mais au sens d’introuvable. A-t-il déserté ? Voici une autre hypothèse.
Les premiers Bleus : Simon Sollier, le prénom retrouvé
Longtemps privé de prénom dans les archives de presse, puis baptisé par erreur André et considéré comme mort à la guerre, Simon Sollier (5 sélections entre 1909 et 1911) est désormais correctement identifié après de minutieuses recherches.
Les premiers Bleus : Alfred Compérat, Raymond Gouin et Victor Hitzel
Tous trois issus du club de patronage de la Jeanne d’Arc de Levallois, ce sont des joueurs modestes qui n’ont presque pas laissé de trace dans l’histoire des Bleus. Cet article est toutefois l’occasion de corriger des inexactitudes.