De Henri Guérin à Didier Deschamps, seize sélectionneurs ont dirigé l’équipe de France lors des cinquante dernières années. Ils ont désormais droit à leur tableau qui compare leurs performances respectives.
Jacques Santini
Ancien joueur des Verts, né le 25 avril 1952 à Delle, il n’a jamais été international, mais après 17 ans d’expérience d’entraîneur réussie en club (Toulouse, Lille, Saint-Etienne, Sochaux et Lyon, avec qui il est champion de France en 2002), il est nommé sélectionneur de l’équipe de France à l’été 2002. Il remporte la Coupe des Confédérations 2003, enchaîne une série record de 14 victoires consécutives mais se heurte au refus de la FFF de prolonger son contrat avant l’Euro 2004. Il décide alors de ne pas prolonger l’expérience et ne peut empêcher l’élimination des Bleus contre la Grèce, l’une de ses deux défaites en 28 matchs dirigés.
Comment repartir après un échec ? Cinq précédents depuis 2002
On l’oublie les soirs de victoire, mais le football est aussi fait (et majoritairement) de défaites et d’éliminations. Deux mois après l’Euro, retour sur les cinq étés qui ont suivi une phase finale manquée lors des vingt dernières années.
Sélectionneurs, une vie après les Bleus
L’annonce de l’arrivée surprise de Raymond Domenech sur le banc du FC Nantes, quelques jours après la signature de Laurent Blanc à Al-Rayyan donne l’occasion de revenir sur les parcours des ex-sélectionneurs.
Ce que l’équipe de France doit à l’AJ Auxerre
Longtemps réputée pour l’excellence de son centre de formation, mais aussi pour sa capacité à relancer quelques carrières compromises, l’Association de la Jeunesse Auxerroise a fourni de nombreux joueurs pour l’équipe de France.
En attendant l’Euro : les exemples à ne pas suivre
Quatre fois, les Bleus ont disputé un championnat d’Europe avec un esprit de conquête ou de revanche. Quatre fois, ils sont tombés de haut. Récit de ces ratés qu’il faudra garder en tête, pour ne pas les reproduire.
2002, une année dans le siècle
Les blessures de Pires et de Zidane, l’hôtel Sheraton de Séoul, les cinq poteaux du premier tour, Santini, Cissé et Gallas qui arrivent : c’était 2002, année sans étoile.