Première partie d’une série sur la façon dont s’est terminée la carrière d’une trentaine d’internationaux. En commençant par ceux, et pas des moindres, qui sont partis dans l’anonymat, sans savoir qu’ils jouaient leur dernier match.
Joël Bats
Gardien des Bleus entre 1983 et 1989 (50 sélections), Joël Bats aura été le numéro 1 à son poste jusqu’à l’arrivée de Fabien Barthez. Né le 4 janvier 1957 à Mont-de-Marsan, il est titularisé à l’Euro 84 qu’il remporte, mais c’est à l’été 1986, au Mexique, qu’il réalise ses plus grandes performances contre l’URSS, l’Italie et surtout le Brésil. Sa fin de carrière internationale sera quelconque, à l’image de l’équipe qui rentre alors dans le rang. Longtemps recordman de sélections pour un gardien, il sera dépassé par Fabien Barthez puis Hugo Lloris, dont il aura été l’entraîneur à Lyon.
Après Joël Bats et Fabien Barthez, quels gardiens de transition ?
Mike Maignan va devenir le gardien titulaire des Bleus en 2023, après la fin de carrière de Hugo Lloris. Que s’est-il passé dans l’intervalle entre Bats et Barthez, puis entre Barthez et Lloris ? Quels gardiens ont fait la liaison ?
Brève histoire des gardiens français en Coupe du monde
Alors que Hugo Lloris s’apprête à battre le record de sélections de Lilian Thuram, retour sur les quatorze autres portiers français qui ont joué en Coupe du monde. Tous ont une histoire, parfois cocasse, parfois amère, parfois aussi glorieuse.
Quand un gardien en remplace un autre
Blessure, expulsion, rotation de l’effectif ou train à prendre : il y a plein de raisons qui peuvent contraindre un gardien de but à quitter le terrain en cours de match. Même si ce n’est pas arrivé souvent en équipe de France.
Ce que l’équipe de France doit au Paris Saint-Germain
Le Paris Saint-Germain a toujours été friand de vedettes étrangères, mais aussi d’internationaux français de premier plan. Lesquels furent les plus marquants ?
21 juin 1986 : Brésil-France
Version solaire et éblouissante de Séville, le quart de finale de Guadalajara est tellement immense qu’il n’aurait pas dû désigner de vainqueur. A moins qu’il n’y en ait eu deux, finalement. Brésil-France, sommet du jeu.