Olivier Giroud

Né le 30 septembre 1986 à Chambéry, il débute en sélection (859e joueur depuis 1904) le 11 novembre 2011 contre les Etats-Unis, à plus de 25 ans. Mis en concurrence directe avec Karim Benzema, il ne devient titulaire qu’à partir de la mise à l’écart de ce dernier à l’automne 2015. Finaliste de l’Euro 2016, puis champion du monde 2018 sans marquer, il devient le huitième centenaire en sélections en octobre 2020, et fait tomber le record de buts de Thierry Henry lors de la Coupe du monde 2022, où il marque quatre fois. Il est aussi le meilleur buteur de la tête en équipe de France.

En terme de longévité, il est le joueur de 35 ans ayant disputé le plus de matchs et marqué le plus de buts, devenant en novembre 2023 le plus vieux buteur de l’histoire des Bleus à 37 ans et 49 jours. S’il joue en 2024, il deviendra l’un des trois plus vieux internationaux français.

2015, un bilan en bleu (5/6) : l’attaque

Publié le 23 décembre 2015 - Bruno Colombari

Quatre débutants et deux retours : Deschamps a chamboulé son attaque cette année, et il a bien fait, car l’affaire Benzema-Valbuena aura sûrement des conséquences pour l’Euro. Et l’éclosion de Martial est une excellente nouvelle.

Tableaux de bord 797 après Danemark-France

Publié le 12 octobre 2015 - Bruno Colombari

Giroud en mode Lucky Luke qui réussit le doublé le plus rapide de l’histoire des Bleus, enfin une victoire à Copenhague, le destin des troisièmes gardiens à l’Euro ou l’histoire du 17-1 de 1908 : les tableaux de bord, c’est encore mieux que la petite sirène.

2014, un bilan en bleu (4/6) : les attaquants

Publié le 20 décembre 2014 - Bruno Colombari

C’est dans ce secteur de jeu que se cache la trouvaille de l’année : Antoine Griezmann est arrivé au moment idéal pour s’installer à la place de Franck Ribéry. Pour le reste, Benzema et Giroud sont toujours aussi peu complémentaires.

Espagne-France (1-1) : l’audace a payé

Publié le 16 octobre 2012 - Bruno Colombari

Au terme d’une dernière demi-heure conquérante, les Bleus arrachent le nul à Madrid (1-1) contre une Espagne dominatrice et trop sûre d’elle. La passivité et la résignation de l’Euro sont bien loin.

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