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Un historique doublé de défenseur pour Sakho qui signe son entrée dans le classement des buteurs, Deschamps enfin qualifié sur le terrain pour une coupe du monde, Cabaye et Giroud dans le top 100 : tableaux de bord de lendemain de victoire.
Au terme d’un match terrible d’intensité, l’équipe de France a renversé la table et gagné de haute lutte son billet pour le Brésil (3-0). Les changements opérés entre l’aller et le retour se sont avérés gagnants.
La première défaite contre l’Ukraine, la cinquième de l’année, encore un 0-2 là-bas, et puis c’est tout. Tableaux de bord mini-format après le barrage aller raté à Kiev.
Battus dans tous les domaines par des Ukrainiens très engagés, les Bleus ont raté leur match aller des barrages dans les grandes largeurs (0-2). Il va falloir un miracle pour renverser la situation mardi.
Pour beaucoup, l’affaire est entendue : sur la lancée de ses bons résultats d’octobre, l’équipe de France va se qualifier pour le Brésil. Prenons quand même le temps de voir ce qui se passerait si ce n’était pas le cas.
La double confrontation France-Ukraine des 15 et 19 novembre prochains sera la huitième de l’histoire dans la catégorie très restreinte des matches de qualification joués sur un format aller-retour. Les Bleus l’ont emporté cinq fois.
Benzema et Ribéry qui se tirent la bourre au classement des buteurs, la Finlande qui justifie son statut de meilleure amie des Bleus, Deschamps qui enchaîne enfin trois victoires d’affilée : tableaux de bord au-delà du cercle polaire.
Vainqueurs sérieux d’une bonne équipe finlandaise (3-0), les Bleus attendent désormais de connaître leur adversaire en barrage. Ils savent au moins qu’ils ont des arguments offensifs à faire valoir.
Le sixième 6-0 de l’histoire, le quatrième pénalty de Ribéry, le bilan des Bleus contre l’Océanie et les autres continents : les tableaux de bord sont aux antipodes.
Faciles vainqueurs d’une Australie la tête en bas (6-0), les Bleus se sont faits plaisir au Parc, avec notamment un festival de Franck Ribéry, impliqué dans tous les buts. Et un très bon Olivier Giroud, bénéficiaire d’un jeu collectif retrouvé.
