En 1984 et 2000, les Bleus abordent l’Euro en favoris de la compétition. Ils franchiront tous les obstacles grâce à des joueurs au sommet de leur talent et à un mental exemplaire.
Euro 1984
Le point d’orgue de l’ère Hidalgo coïncide avec l’explosion de Platini, l’installation de Bossis dans l’axe et la mise en place d’un carré magique en équilibre. Le résultat, c’est un feu d’artifice offensif et émotionnel qui culmine lors du match de Nantes face à la Belgique et de la demi-finale de Marseille contre le Portugal.
En attendant l’Euro : les meilleurs à la maison
C’est la sixième fois que la France est pays hôte d’une compétition internationale. Elle a gagné les trois dernières avec 16 victoires et 1 nul en 17 matches. Comment se situe-t-elle par rapport à l’Allemagne, l’Italie, le Brésil, l’Argentine et l’Uruguay ?
En attendant l’Euro : un an avant les conquêtes
Dans un an commencera l’Euro 2016. Que s’est-il passé pour les Bleus douze mois avant l’Euro 1984, le Mondial 1998 et l’Euro 2000 ? Rien de bien encourageant. Début de notre série En attendant l’Euro.
1984, une année dans le siècle
C’est l’année parfaite, celle de toutes victoires et de tous les records. Collectifs avec le titre européen et un fond de jeu inégalé, individuels avec les treize buts d’un Michel Platini en état de grâce.
Alain Giresse, pépite tardive
Cinq petites années : la carrière internationale d’Alain Giresse fut aussi brève qu’étincelante. Avec lui, pièce majeure du carré magique, les Bleus deviennent une des meilleures équipes du monde.
L’Ecosse en apéritif européen, en juin 1984
Quelques jours avant l’Euro 84, la France reçoit l’Ecosse à Marseille dans un vélodrome bricolé. Victoire facile avec un Platini double passeur décisif (et pas aidé par les poteaux).