Maillots

Ici, on parle textile, mais pas seulement : les maillots n’ont pas seulement une couleur (ou plusieurs), ils ont aussi une histoire, un numéro, un nom dans le dos, un discours marketing et un coût. Ce qu’ils n’ont pas, c’est un sponsor, mais jusqu’à quand ? Telle est la question.

Les premières fois du maillot de l’équipe de France

Publié le 8 juin 2022 - Matthieu Delahais

En 2018, l’insigne des champions du monde fait son apparition sur la tunique nationale alors que le port de la première étoile remonte maintenant à plus de 23 ans. A quand remontent les autres premières du maillot de ceux qu’on appelle aujourd’hui les Bleus ?

Brève histoire des numéros de maillots en équipe de France

Publié le 22 février 2022 - Matthieu Delahais

L’équipe de France a joué avec des maillots numérotés pour la première fois le 26 mai 1945 lors d’un déplacement en Angleterre. Il faut ensuite attendre presque trois ans et un match face à l’Italie pour en retrouver à nouveau sur la tenue des Bleus, mais depuis, l’équipe de France en a toujours portés.

Un 7 dans le dos : d’Aston à Wisniewski (1945-1963)

Publié le 15 février 2022 - Bruno Colombari

Quels sont les pionniers du numéro 7 en équipe de France ? Du WM de l’après-guerre au 4-3-3 du début des années 1960, ils sont pas moins de 30 à avoir évolué au poste de milieu offensif ou d’ailier droit. On y trouve Maryan Wisniewski, mais aussi Raymond Kopa à ses débuts et à sa fin.

Un 7 dans le dos : de Lech à Larqué (1963-1975)

Publié le 9 février 2022 - Bruno Colombari

Sur les 78 matchs qui vont de la fin de l’ère Kopa à celle de Kovacs, le numéro 7 circule au sein de 19 joueurs, dont quelques grands espoirs déçus du football français : Georges Lech, Charly Loubet, Bernard Blanchet ou Serge Chiesa. On trouve même Alain Giresse et Jean-Michel Larqué.

Un 7 dans le dos : les années Deschamps (1989-2000)

Publié le 28 janvier 2022 - Bruno Colombari

Entre 1989 et 2000, Didier Deschamps joue 103 des 123 rencontres de l’équipe de France. Dont 96 avec le numéro 7 qu’il récupère dès sa première titularisation et qu’il ne lâchera quasiment jamais, sauf au profit d’Eric Cantona lors des premiers matchs de l’ère Jacquet.

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