Quatre rencontres de l’équipe de France contre des sélections nationales ont été occultées des statistiques. Aucune d’elle ne mérite pourtant d’être oubliée. Nous nous employons à préserver leur mémoire.
Quatre matchs oubliés de l’histoire des Bleus

Récits de grands matchs avec à chaque fois le contexte historique, le récit du match, l’action souvenir décryptée, l’adversaire à surveiller, le Bleu du match, la petite phrase et la fin de l’histoire. Les articles sont mis en ligne à la date anniversaire du match. Et aussi l’histoire des oppositions entre la France et un adversaire racontée match par match.
Quatre rencontres de l’équipe de France contre des sélections nationales ont été occultées des statistiques. Aucune d’elle ne mérite pourtant d’être oubliée. Nous nous employons à préserver leur mémoire.
Petit frère du 12 juillet 1998, double inversé du 10 juillet 2016, ce soir d’été 2000 l’emporte dans le suspense et la dramaturgie. Sous le ciel orange de Rotterdam, les Bleus ont d’abord perdu cette finale avant de la gagner.
Après les Danois et les Espagnols, les Bleus continuent leur remix de 1984 face au Portugal. Il n’y aura pas de revanche à Bruxelles malgré Luis Figo ou Nuno Gomes, mais l’invention d’un nouveau concept : le tir au but en or. En route pour Bruxelles.
Guardiola contre Zidane : ce n’est pas l’affiche du prochain Manchester City-Real Madrid, mais celle du France-Espagne 2000. Dans le soleil couchant de Bruges va se jouer un quart de finale de haut niveau, avec un Djorkaeff plus inspiré que Raul.
Le seul match de phase finale que les Bleus voulaient perdre, c’est celui-là. Et ils l’ont perdu, après avoir donné des sueurs froides aux Hollandais bousculés par une équipe de coiffeurs superbe et culottée.
Suite de notre rétro avec analyse détaillée et commentaire des matches dans les conditions du direct. Retour à Bruges, le 16 juin 2000, pour un France-République tchèque déjà décisif, un vrai hutième de finale.