80 gardiens ont joué dans les cages de l’équipe de France. De Hugo Lloris à André Renaux, les voici tous réunis dans un tableau enrichi détaillant leurs performances et leurs séries.
Gardiens de but
Ils n’ont pas le même maillot, mais ils ont la même passion : jamais l’équipe de France n’a été titrée sans un très grand gardien, que ce soit Joël Bats, Fabien Barthez ou Hugo Lloris. Mais il y en a beaucoup d’autres qui ont vécu des histoires étonnantes, souvent drôles, parfois tragiques.
Les premiers Bleus : André et Charles Renaux, frères de Roubaix
C’est la deuxième fratrie de l’histoire des Bleus : en 1908, André Renaux et son cadet Charles ont joué un match en sélection (mais pas le même). Fils d’un courtier dans l’industrie lainière, ils survivront au premier conflit mondial.
François Remetter : c’était le doyen des Bleus
Le gardien titulaire de l’équipe de France au départ de la Coupe du monde 1958 a été aussi champion du monde militaire 1949, puis a accompagné les Bleus en Argentine en tant que représentant d’Adidas. Il est mort à 94 ans et 55 jours, alors qu’il était le doyen des Bleus.
Passons les gardiens de but sous la toise
Trente centimètres et un siècle séparent Maurice Guichard d’Alphonse Areola. Puisqu’il y a eu des gardiens petits et des gardiens grands, sans corrélation avec leur talent, classons-les à la verticale.
Gardiens de but de l’équipe de France : chronologie du poste
Longtemps délaissé, peu valorisé, le poste de portier des Bleus n’a été vraiment déterminant qu’à l’arrivée de Joël Bats en 1983. Depuis, sept nouveaux gardiens comptent plus de 30 sélections alors qu’ils n’étaient que deux lors des huit premières décennies.
Les premiers Bleus : Georges Crozier, de Londres à Nice en passant par le Japon
Le deuxième gardien de l’équipe de France, et le premier international sorti en cours de match, a connu une carrière brève mais étonnante, entre deux séjours à l’étranger, en Angleterre et en Asie. Etait-il le fils d’un diplomate ?