De l’histoire, donc, avec des récits qui tentent d’éclairer le présent, mais aussi de la géographie puisque les Bleus ont joué sur les cinq continents. Des anecdotes enfin, qui mises bout à bout tissent la grande histoire de l’équipe de France.
La première liste post-Euro pour les trois matchs de septembre donne quelques indications sur les 15 mois avant le Qatar : ça tourne sur le banc et il y a des places de latéraux à prendre.
Le stade de Séoul où l’équipe de France fut battue par le Sénégal le 31 mai 2002 a été construit pour la Coupe du monde 2002. Disposant de 66 704 places, il s’agit du plus grand stade de football d’Asie.
Le numéro 13 porte-t-il chance à l’équipe de France ? Quels sont les joueurs qui ont porté ce numéro particulier en phases finales ? Attention : article déconseillé aux superstitieux.
Il y a bien longtemps de cela, les Bleus perdirent un barrage pour accéder à la Coupe du monde au Brésil. Puis ils furent repêchés, avant de déclarer forfait vingt jours avant le début de la compétition. Les archives de L’Equipe de juin 1950 racontent cette rocambolesque affaire dans le détail.
Aucun international en activité n’est susceptible de menacer Eric Di Meco, le Bleu invaincu comptant le plus de sélections (23). Giuly, Mavuba, Pardo et Martin peuvent eux aussi dormir tranquille. Mais Hernandez et Pavard sont bien placés au classement de ceux qui n’ont perdu qu’une ou deux fois.
Certains joueurs du championnat de France de Ligue 1 se sont offert un jour le plaisir de marquer contre les Bleus avec leur sélection nationale. Des buts souvent loin d’être anodins.
Retrouvez ici les entretiens avec des auteurs, des journalistes ou des techniciens qui apportent chacun leur éclairage et leur vécu sur l’équipe (…)
Petites perles imprimées et vidéo trouvées dans les coffres aux trésors de l’INA et de Gallica.
Une année dans le siècle, sous toutes les coutures.
Livres, films, expositions sur l’équipe de France : les Bleus, ce n’est pas que du foot !
