Voilà encore une proposition étonnante dans une série qui n’en manque pas : 40 pays qualifiés se départagent à l’automne par groupes de cinq dans huit pays organisateurs. Les 16 meilleurs classés se retrouvent en juin pour un tournoi à élimination directe uniquement.
Raphaël Perry

Girondin de cœur, journaliste depuis l’avènement des sites internet, passé par la radio Wit FM puis depuis 19 ans à l’AFP Bordeaux où il couvre tout le sport. Trois Coupes du monde couvertes (une en foot, deux en rugby), sa couleur préférée est le bleu, celui de son premier maillot enfilé en 1983. Sous le charme de l’équipe de France depuis Séville, n’a pas raté beaucoup de matches depuis. Il a publié en octobre 2021 Bleus éphémères (Hugo Sport), consacré aux 244 joueurs ne comptant qu’une seule sélection en équipe de France.
Voir l’ensemble de la rédaction

Articles de cet auteur
Espagne 82, ou quand la nostalgie refait surface
Férus des Bleus mais avant tout de ballon rond, les chroniqueurs Richard Coudrais et Bruno Colombari nous replongent quarante ans en arrière, dans une relecture globale, inspirée et très détaillée du Mundial espagnol, charnière de l’histoire du football planétaire.
Les Bleus, c’est de famille (2) : allons enfants de la fratrie
De Charles et Georges Bilot en 1904 à Lucas et Théo Hernandez en 2021 en passant par Pierre et Paul Sinibaldi dans les années 40, ils sont 24 frères à avoir porté le maillot des Bleus, parfois lors des mêmes matchs.
L’épopée des voyages bleus (1904-1945)
Train, bateau, avion, taxi, covoiturage… De 1904 et son match inaugural en Belgique à la fin de la deuxième guerre mondiale, l’équipe de France a utilisé toutes sortes de moyens de locomotion pour ses déplacements. Petit florilège.
Le jour où une chèvre a supplanté le coq
Quatre mois avant d’embarquer pour la première Coupe du monde, les joueurs de l’équipe de France vont à Porto en février 1930. Où après 29 heures de train, ils arrivent avec sous le bras un chevreau noir en guise de mascotte...
Ce que l’équipe de France doit aux Girondins de Bordeaux
Ils sont 102 à avoir porté, simultanément ou successivement, le maillot marine et blanc et le maillot bleu dans leur carrière. De Henri Arnaudeau à Laurent Koscielny en passant par Alain Giresse et Zinédine Zidane, voici raconté l’apport des Girondins à la patrie.