Sorte de derby du Rhin chargé d’une histoire écrasante, France-Allemagne a connu plusieurs visages. La première partie nous amène de Colombes, en 1931, à Marseille en 1968.
Allemagne
L’Allemagne, en tant que sélection nationale, a connu trois périodes distinctes. Une seule équipe jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, puis deux équipes (RFA et RDA) de 1949 à 1990, et à nouveau une seule équipe depuis. D’un point de vue statistique, pour la FIFA, c’est la RFA qui a assuré la continuité entre les deux périodes où l’Allemagne n’avait qu’une seule équipe. Sur ce site, la mention « Allemagne » désigne donc aussi la RFA lors des 15 confrontations avec l’équipe de France entre 1952 et 1990.
L’Allemagne est le sixième adversaire le plus souvent rencontré par les Bleus, avec 33 matchs depuis 1931. Et les Français ont l’avantage (15 victoires pour 10 défaites et 8 nuls), essentiellement depuis le début du 21e siècle (7 victoires pour seulement 3 défaites). En phases finales, Français et Allemands se sont croisés 4 fois en Coupe du monde (1958, 1982, 1986 et 2014) et une seule fois à l’Euro (2016), mais jamais en finale.
1952, une année dans le siècle
Suite de notre série rétro avec l’année qui vit débuter en Bleu Raymond Kopa et Roger Piantoni dans un groupe qui préfigure celui qui finira troisième de la coupe du monde six ans plus tard.
Douze questions pour 2012
Nous y voilà. Dans six mois très exactement, nous saurons si les Bleus 2012 auront rejoint ceux de 1984 et de 2000 au palmarès de l’Euro. Une blague ? On va en tout cas essayer d’y répondre, ainsi qu’à onze autres questions pour l’année qui vient.
Trois blessés qui ont (peut-être) changé l’histoire
Alors que Philippe Mexès s’est rompu le ligament croisé et sera forfait au moins quatre mois, retour sur trois blessés historiques : Robert Jonquet en juin 58, Patrick Battiston en juillet 82 et Patrick Vieira en juillet 2006.
Quand Michel trouvait Cantona consciencieux, à Berlin en 1987
A 21 ans, Cantona était-il déjà un rebelle ? Quelques heures avant sa première sélection, à Berlin en août 1987, il avouait déjà être très mauvais perdant. Quant à Henri Michel, qui se fera traiter un an plus tard de sac à merde, il apprécie l’état d’esprit de son nouvel attaquant.
Tableaux de bord 735 après Angleterre-France (1-2)
La première de Mamadou Sakho, le deuxième but de Valbuena, une quatrième victoire consécutive contre le deuxième adversaire préféré des Français et plein d’autres statistiques.