Le 10 juillet 2016, la France dispute la finale de l’Euro face au Portugal. Alors que les Bleus restent sur dix victoires de rang contre les Lusitaniens, ils n’arrivent pas à trouver la faille dans la défense adverse. Jusqu’à la 92e...
2016
Tous les articles concernant les matches de 2016 et plus généralement sur ce qu’il faudra retenir de cette année-là.
France et Allemagne, des voisins bien peu envahissants
Si les Allemands ont disputé quatre des six phases finales jouées en France depuis 1938, les Bleus n’ont participé qu’à une seule des quatre organisées Outre-Rhin depuis 1974. Et aucun n’a remporté le moindre titre chez l’autre.
2016, un bilan en bleu (6/6) : et quoi d’neuf docteur ?
Si la défaite contre le Portugal a mis un terme à plusieurs séries statistiques, il y a eu beaucoup de nouveautés en 2016, de Dembélé à Umtiti en passant par Borisov, Rotterdam ou le 4-0 à la mi-temps contre l’Islande.
2016, un bilan en bleu (5/6) : l’attaque
Elle a fait des étincelles cette année grâce à son trio de feu Griezmann-Giroud-Payet. Du coup, les petits derniers de 2015 ont momentanément disparu de la circulation. Et Gameiro a mis le pied dans la porte.
2016, un bilan en bleu (4/6) : le milieu
C’est le secteur de jeu le plus stable cette année. Pogba et Matuidi omniprésents, Kanté ou Sissoko pour faire le troisième et des poussières pour les trois autres. Mais stabilité ne veut pas dire efficacité.
2016, un bilan en bleu (3/6) : la défense
Trois gardiens et quatorze défenseurs : jamais Didier Deschamps n’aura utilisé autant de monde derrière (treize défenseurs en 2013, douze en 2014, onze en 2015). La succession d’Evra et de Sagna est engagée.