Depuis 1953, l’équipe de France a joué 84 fois en septembre, avec un bilan intéressant de 47 victoires pour seulement 14 défaites. Le match perdu contre l’Italie est le neuvième en compétition.
Dominique Rocheteau
Né le 14 janvier 1955 à Saintes, il a porté le maillot bleu pendant onze ans (1976-1986), a participé à trois Coupes du monde et un championnat d’Europe, mais il ne compte au final que 49 sélections, pour 15 buts et 11 passes décisives. Ailier droit puis avant-centre de grande classe, il était d’une correction extrême et ne rendait jamais les coups qu’il prenait. Son Mundial mexicain, à 31 ans, a été le sommet de sa carrière internationale, qu’il a achevée face au Brésil sous le soleil de Guadalajara.
Ainsi s’achèvent les carrières (2) : en phase finale
Deuxième partie de cette série, consacrée aux joueurs qui ont quitté l’équipe de France à l’occasion d’une phase finale d’Euro ou de Coupe du monde. Certains l’ont même fait au terme d’une finale...
Les triplés de l’équipe de France
En comptant ceux qui ont inscrit quatre buts, ou même cinq, dans le même match, ils sont 16 Bleus à avoir réalisé un triplé en équipe de France. A quel moment du match ces buts ont-ils été marqués ? Dans quelles circonstances ? Contre quel adversaire ? Qui sont les triples buteurs les plus rapides, ou les plus jeunes ?
Dominique Rocheteau, nos années romantiques
C’est sans doute le dribbleur le plus élégant de l’histoire des Bleus. De 1975 à 1986, Rocheteau aura tout connu avec l’équipe de France, malgré une éclipse au plus mauvais moment en 1984.
Ce que l’équipe de France doit au Paris Saint-Germain
Le Paris Saint-Germain a toujours été friand de vedettes étrangères, mais aussi d’internationaux français de premier plan. Lesquels furent les plus marquants ?
Un 7 dans le dos : de Rocheteau à Durand (1975-1989)
Pendant quinze ans, le poste d’ailier droit tourne beaucoup en équipe de France : ils sont donc 35 à porter le numéro 7 en 117 matchs. Dominique Rocheteau et Jean-Marc Ferreri sont les utilisateurs les plus fréquents.