Deuxième défaite contre un pays asiatique, huitième revers au SdF, les débuts de Chantôme, et une nouveauté, le sélectionomètre : des stats niponnes ni mauvaises.
Tableaux de bord 760 après France-Japon (0-1)


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Deuxième défaite contre un pays asiatique, huitième revers au SdF, les débuts de Chantôme, et une nouveauté, le sélectionomètre : des stats niponnes ni mauvaises.
Avec son milieu expérimental, la France a réalisé un festival d’occasions manquées contre le Japon avant de s’incliner sur un contre parfait (0-1). Pas la meilleure façon de préparer le match contre l’Espagne.
Un Euro complètement raté, une ancienne gloire au poste de sélectionneur qui s’en va sur et un autre qui arrive : bienvenue en 1992, dont on retiendra les sept buts de Papin et les débuts de Lizarazu.
Six mois après son éblouissante coupe du monde en Suède, Raymond Kopa a le cafard. Il en a assez du Real Madrid et de l’Espagne, il veut rentrer à la maison. Et si possible au Stade de Reims.
Deux victoires pour commencer en phase qualificative, Jallet et Capoue nouveaux buteurs pour les Bleus, le 68e match au Stade de France, premier succès face à la Biélorussie : c’est parti pour une salve de stats de rentrée.
Au cours d’une deuxième mi-temps complètement décousue, l’équipe de France bat la Biélorussie (3-1) après une première période bien plus maîrisée mais stérile. Un peu de fantaisie ne saurait faire de mal.
Les débuts en compétition de Didier Deschamps, le premier but en bleu d’Abou Diaby, Hugo Lloris cinquième gardien évoluant à l’étranger : stats utiles et futiles au lendemain d’Helsinki.
Toujours aussi peu inspirés devant, les Bleus s’en sont remis à une combinaison Benzema-Diaby pour venir à bout d’une coriace équipe finlandaise (1-0). Un résultat nécessaire, une manière encore insuffisante.
Pour la première fois, un international à plus de cent sélections est devenu sélectionneur des Bleus. Essayons de deviner les secrets des six centenaires et dressons le portrait-robot du centenaire idéal.
L’explosion d’Amoros, la folle nuit de Séville, l’arrivée de Luis Fernandez : l’année de Thriller et de E.T. n’a manqué ni de grandes frayeurs ni de belles émotions. Elle a surtout vu les Bleus changer de statut.