Franck Ribéry

Natif de Boulogne sur Mer (comme Papin) où il voit le jour le 7 avril 1983, il est catapulté en un temps record (deux ans) du National à la finale de la coupe du monde 2006. En sélection, il a commencé par le sommet avant de vivre de nombreuses désillusions jusqu’à la chute libre de Knysna en 2010. Joueur précieux par sa capacité à percuter et sa qualité de passe (17 passes décisives), il quitte les Bleus en mai 2014 sur un goût d’inachevé, déclarant forfait pour la Coupe du monde en raison de douleurs au dos.

Franck Ribéry, l’agent de liaison

Publié le 8 octobre 2022 - Bruno Colombari

Il aura fait la jonction, de 2006 à 2014, entre la génération Zidane et celle de Griezmann. Fin technicien, passeur d’élite et tête brûlée, il aura frôlé le titre mondial à Berlin et les abîmes à Knysna. Franck Ribéry, grandeur et décadence.

Ces Bleus qui débutent juste avant une Coupe du monde

Publié le 24 février 2022 - Bruno Colombari

Depuis 1978, vingt nouveaux internationaux ont été lancés entre janvier et mai d’une année de Coupe du monde. Si la plupart ont été retenus dans la liste finale, tous n’ont pas réussi leur carrière par la suite. Les buteurs et les passeurs sont toutefois bien représentés.

Un 7 dans le dos : de Pirès à Ribéry (2001-2014)

Publié le 26 janvier 2022 - Bruno Colombari

Avant Antoine Griezmann, trois hommes se sont quasiment partagés équitablement (et successivement) le numéro 7 des Bleus. Robert Pirès le récupère après Didier Deschamps, puis le laisse en 2004 à Florent Malouda qui le cède en 2008 à Franck Ribéry. Neuf autres joueurs complètent le tableau.

Générations bleues