Le gardien titulaire de l’équipe de France au départ de la Coupe du monde 1958 a été aussi champion du monde militaire 1949, puis a accompagné les Bleus en Argentine en tant que représentant d’Adidas. Il est mort à 94 ans et 55 jours, alors qu’il était le doyen des Bleus.
Gardiens de but
Ils n’ont pas le même maillot, mais ils ont la même passion : jamais l’équipe de France n’a été titrée sans un très grand gardien, que ce soit Joël Bats, Fabien Barthez ou Hugo Lloris. Mais il y en a beaucoup d’autres qui ont vécu des histoires étonnantes, souvent drôles, parfois tragiques.
Passons les gardiens de but sous la toise
Trente centimètres et un siècle séparent Maurice Guichard d’Alphonse Areola. Puisqu’il y a eu des gardiens petits et des gardiens grands, sans corrélation avec leur talent, classons-les à la verticale.
Gardiens de but de l’équipe de France : chronologie du poste
Longtemps délaissé, peu valorisé, le poste de portier des Bleus n’a été vraiment déterminant qu’à l’arrivée de Joël Bats en 1983. Depuis, sept nouveaux gardiens comptent plus de 30 sélections alors qu’ils n’étaient que deux lors des huit premières décennies.
Les premiers Bleus : Georges Crozier, de Londres à Nice en passant par le Japon
Le deuxième gardien de l’équipe de France, et le premier international sorti en cours de match, a connu une carrière brève mais étonnante, entre deux séjours à l’étranger, en Angleterre et en Asie. Etait-il le fils d’un diplomate ?
Après Joël Bats et Fabien Barthez, quels gardiens de transition ?
Mike Maignan va devenir le gardien titulaire des Bleus en 2023, après la fin de carrière de Hugo Lloris. Que s’est-il passé dans l’intervalle entre Bats et Barthez, puis entre Barthez et Lloris ? Quels gardiens ont fait la liaison ?
Daniel Éon, gardien d’infortune
Daniel Éon, décédé le 15 mars 2021, fut le premier gardien du FC Nantes appelé en équipe de France. Une terrible blessure a malheureusement abrégé sa carrière en bleu.