Trois ans après le Dico des Bleus, Matthieu Delahais parvient enfin à faire publier son projet de livre sur l’histoire du maillot de l’équipe de France, avec l’aide de Bruno Colombari. C’est chez Solar, sortie le 12 novembre 2020.
Les sources existantes datent l’arrivée du coq sur le maillot de la sélection en 1909. Cependant, les recherches de Matthieu Delahais lors de l’écriture de « Un maillot, une légende » ont rectifié cette erreur.
Pour les joueurs, c’est sans doute le maillot ultime. Celui qui se mérite, qui est préparé, mais que tous n’ont pas la chance de porter en match. Mais une fois les rencontres terminées, que deviennent les maillots des Bleus ? Quelques exemples avec des pièces historiques.
Vous avez peut-être déjà vu un de ses concepts de maillot de l’équipe de France sur Twitter ou Instagram. Depuis bientôt deux ans, ses créations emballent la toile. Interview de Clément Thiery, alias Saintetixx.
Un maillot couleur champagne, un autre orné de cristaux de Swarovski, un formulaire à colorier, un flocage numéro 337, le 10 de Mbappé pour 160 000 euros et un gardien trop grand pour son maillot.
En août 2016, Bruno Martini avait accepté de répondre à mes questions dans le cadre de mon manuscrit sur l’histoire du maillot des Bleus. Elles ne figurent pas dans le livre, mais elles apportent un éclairage intéressant sur les spécificités du maillot de gardien.
Du chandail noir de Chayriguès au jaune fluo Dri-Lift de Lloris, les portiers de l’équipe de France ont vu la texture et la couleur de leur maillot évoluer au fil du temps. Même si eux ne jouent presque jamais en bleu...
